Viviane Moore
Fauve
Alors que l'hiver glace la mer et que le vent souffle en tempête, drossant les navires sur la côte, une bête fauve ravage la cité neuve de La Rochelle. Un assassin que ni les hommes du prévôt, ni les templiers n'arrivent à capturer. Dans les ruelles retentit une comptine d'enfant. La malédiction prend la forme d'une maléfique statue honorée par un être tenant plus du spectre que de l'humain. Crimes de sang, passion, pouvoir, corruption ! Le chevalier Galeron de Lesneven devra aider les templiers à faire toute la lumière sur les meurtres qui souillent la paix de La Rochelle et de leur commanderie.
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Tout en contournant le récif du Panthéon, je ruminais une question que je devais me poser mille et mille fois par la suite, une question que je sentais déjà familière à toutes mes fibres : « Allons! Qu'est-ce qu'il' y a encore? Qu'a-t-il encore inventé? » Oui, telle était la question qui, plus ou moins bien formulée, s'élevait du fond de mon coeur quand je voyais maman serrer les lèvres jusqu'à les vider de toute cou-leur, ou quand papa préludait en public à quelqu'une de ces colères théâtrales qui avaient fait, qui faisaient encore la terreur du clan.
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L’Anneau d’améthyste est un roman d’Anatole France publié en 1899. Il fait partie de l’Histoire Contemporaine, tétralogie dont il constitue le troisième volet. Ce roman poursuit l’histoire de M. Bergeret ainsi que la candidature de l’abbé Guitrel à l’évêché de Tourcoing, ces deux thèmes ayant été entamés dès le premier livre de la tétralogie, L’Orme du mail. Les personnages sont pour la plupart présents dès ce premier livre et l’auteur ne redonne pas d’explication par la suite sur leur histoire. Le roman se situe en pleine affaire Dreyfus.
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