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Henry Popkin
Four modern plays (second series)
En anglais – 1°) IBSEN – Rosmersholm 2°) WILDE – The importance of being earnest 3°) ROSTAND – Cirano de Bergerac 4°) GORKI – The lower depths
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Le Misanthrope
La pièce est accompagnée de questionnaires de lecture pour une approche méthodique du texte. Le cahier iconographique. Les thèmes majeurs de la pièce sont évoqués par de nombreuses photographies de mises en scène (Marcel Bluwal, Antoine Vitez…). Des questions de lecture de l’image sont proposées dans la rubrique “Le texte et ses images”. L’appareil critique : Biographie de l’auteur et genèse de l’œuvre. La préciosité. La représentation de la Cour. Les grands thèmes de la pièce : l’honnête homme, la misanthropie… Des groupements de textes sur la satire du jeu social (Du Bellay, Diderot…) et les portraits de femmes (Crébillon, Rousseau…).
De Verdronkene
En néerlandais – “De verdronkene” verscheen in april 2005. De eerste druk in een gebonden uitgave, de tweede in een paperbackversie. Deze tweede druk is bij de samenvatting gebruikt. Het is een flinke roman over een noodlottige situatie tijdens de Watersnoodramp van 1953. De roman telt 331 bladzijden. De voorkant van de roman is overwegend blauw met een beetje grijs. Er staat geen afbeelding op de kaft. Op de achterkant staat een foto van de schrijfster en een uiteenzetting van eerder verschenen romans. De flaptekst staat op de één na laatste pagina, wat opmerkelijk mag heten.
Tibère
Tibère est-il un méconnu ? voire un homme calomnié ? On se le représente, d’après Tacite, méfiant et cruel, perché sur son flot rocheux de Capri comme un vieil aigle cruel, prompt à fondre sur ses adversaires, réels ou présumés, pour les déchirer. Est-ce là la véritable image que l’Histoire doit garder de lui ?. Woilhelm Gollub, un des maîtres de la jeune école artistique d’Allemagne, rompt avec les jugements tout faits. Il nous montre un Tibère modeste, laconique et secret, plus humain qu’un vain peuple ne pense, un chef surtout passionné de son métier d’empereur, embrassant les questions dans leur ensemble, mais sachant aussi contrôler les détails, un prince qui avait au plus haut degré le sens de ses responsabilités, de ses devoirs d’état. Si Tibère fut à maintes reprises sévère jusqu’à l’apparente cruauté, ne serait-ce pas tout simplement en vertu de la fatalité qui pèse sur tous les dictateurs ? M. Gollab n’aurait-il pas pensé à tels ou tels de nos dictateurs modernes, que l’Histoire juge aussi avec sévérité ? Ce portrait d’un homme va loin dans l’analyse des conditions où s’exerce les gouvernements des hommes.
Babbitt
Babbitt est l’un des très rares héros de la littérature – comme Tartuffe, Don Quichotte, Don Juan ou Harpagon – dont le patronyme est devenu quasiment un nom commun. Outre-Atlantique, un “Babbitt” désigne communément cet Américain moyen, homme d’affaires besogneux, affilié à son club, fier de son niveau de vie et de son confort, tel qu’il pouvait fleurir durant les années 20, abeille bourdonnante et docile, habitant de ces ruches que Sinclair Lewis, dans ce classique des classiques de la littérature américaine, définit ainsi : “Tours austères d’acier, de ciment et de pierre, hardies comme des rocs et délicates comme des baguettes d’argent. Ni des citadelles, ni des églises mais franchement, magnifiquement des édifices pour bureaux.”

