- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- France de Riga – Tome 2 – La blanchisserie
Séraphine
France de Riga – Tome 2 – La blanchisserie
Dans une Europe traversé par les idées issues de la Révolution, France de Riga est au centre d’un réseau d’espionnage opposé à Bonaparte. Complots, trahisons et élans amoureux s’entremêlent. La belle aventurière les affronte avec fougue et passion. Ce récit sensible et dur dévoile des personnages très vite attachants, à la psychologie forte. Le dessin de Séraphine très personnel et sa mise en couleurs directes dont de France de Riga une oeuvre réaliste hors normes, …
Vous aimerez aussi
Une journée d’Ivan Denissovitch
En 1962, pour qu'Une joumée d'Ivan Denissovitch pût être publiée en URSS, Soljenitsyne avait dû consentir à des coupures et, par endroits, remanier le texte original. Voici la version intégrale de ce roman si profondément, si tragiquement russe et qui, cependant, fait maintenant partie du patrimoine mondial de la culture. Vingt ans ont passé depuis qu'il a vu le jour. Des oeuvres monumentales ont succédé à ce joyau : le Premier Cercle, le Pavillon des cancéreux, Août Quatorze et ce requiem colossal qu'est l'Archipel du Goulag ; pourtant, c'est toujours Ivan Denissovitch qui revient le premier à la mémoire dès qu'on nomme Soljenitsyne. Récit, dans sa version intégrale, de la douloureuse expérience du maçon Denissovitch dans le camp Solovetski. Cette description crue du goulag a fait sensation dès sa parution.
L’infant de Parme
Au milieu du XVIIIe siècle, le petit infant de Parme, Ferdinand, est l'objet d'une expérience sans précédent. Désirant en faire un prince moderne, sa mère, Louise Elisabeth, fille de Louis XV, lui donne pour instituteurs l'élite des philosophes français. Convaincus que l'éducation fait l'homme, ils vont pouvoir expérimenter sur lui le bien-fondé de leurs théories. Alors que toute l'Europe des Lumières a les yeux tournés vers lui, l'enfant porte sur ses frêles épaules les espoirs de la nouvelle philosophie. Deviendra-t-il le prince éclairé que chacun espère ?
Ça va mal finir
“J'ai voté Nicolas Sarkozy mais je dors mal depuis.”
F. L.
La dernière conférence
Une conférence internationale comme tant d'autres. Minuscule monde clos où s'affrontent les intérêts des Etats, mais aussi s'entremêlent les intrigues personnelles de leurs représentants. Elle s'ouvre à Londres en octobre 1989, rassemblant tous les pays européens. Nul n'en attend rien. Même si Gorbatchev et sa perestroïka laissent pressentir de possibles évolutions, on est encore en plein équilibre de la terreur. Du reste, au moment où débute la Conférence, l'Allemagne de l'Est célèbre en fanfare son quarantième anniversaire. Pourtant l'impensable va survenir: quand la Conférence se sépare deux mois plus tard, le Mur de Berlin sera tombé, et, comme dans un jeu de massacre, les démocraties populaires auront été l'une après l'autre balayées. Tout au long de cette Dernière Conférence de la guerre froide, Tromelin, le chef de la délégation française, tient son journal. Sous son regard d'ethnologue, s'agite la faune souvent dérisoire, parfois inquiétante, de ses collègues des deux blocs.

