- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Funeral in Berlin
Len Deighton
Funeral in Berlin
En Anglais – FUNERAL IN BERLIN is a spellbinding tale of espionage and its counter in which double and triple crosses are common. Berlin with its infamous wall symbolized the Cold War as did no other place. It was like theatre, but is war for real. « Len Deighton has always been fascinated with the Cold War in a way that could be called scholarly…one always feels that the intricacies of espionage and of the Soviet Union’s spy apparatus rest on serious research. And he writes with effortless mastery. » (The Wall Street Journal). « A most impressive book, a chronicle of our times, in which the tension, more like a chronic ache than a stab of pain, never lets go. » (The London Evening Standard)
Vous aimerez aussi
Le dernier soupir du maure
Le jour de la fête de Ganesh, Aurora Zogoïby danse pour défier des dieux auxquels elle ne croit pas. Peintre célébré, femme aux dimensions formidables, Aurora exècre la foule qui s'adonne au culte superstitieux du dieu éléphant. Sa danse est donc un geste de suprême dédain. Mais la foule se méprend et la vénère. Irréversiblement, elle est au centre des choses. Y compris de la vie de son fils Moraes. Le roman suit exactement le même schéma narratif que Les Enfants de minuit : à l'aube de sa mort, le narrateur se lance sur un rythme effréné dans le récit de sa vie, commençant à la jeunesse de ses grands-parents pour arriver, essoufflé, au moment où il prend la plume. Même festin d'images, même réalisme magique, même sensualité, si ce n'est que le poivre a remplacé le chutney comme moteur du souvenir.
La brute apprivoisée
– Le duc de Peregrine ? Mais tu es folle ! Si tu épouses cet homme, ta vie sera un enfer. En dépit des avertissements, Liana s’entête. Elle a vu défiler d’innombrables prétendants, qui lui débitaient des compliments insipides tout en lorgnant sa dot. Pas un seul n’a fait battre son coeur comme ce colosse roux aux manières détestables. Le souvenir de leur brève étreinte, près d’une source, suffit à la faire défaillir. A peine le mariage célébré, Peregrine arrache sa jeune épouse à sa famille pour l’emmener dans son domaine : un château à demi ruiné, d’une saleté repoussante et peuplé d’une bande de sauvages. Liana pourrait à la rigueur s’accommoder de l’inconfort de sa nouvelle demeure. Mais son mari la délaisse chaque nuit pour retrouver son harem de servantes-maîtresses, arrogantes et stupides. C’en est trop : il faut mater ce rustre ! L’épreuve sera rude. Mais sous son apparente douceur, Liana dissimule une volonté inflexible !
Mal d’enfant
Novembre à Londres. Pluie battante, bien entendu. Deborah Saint-James, qui fait des fausses couches à répétition, est déprimée… A la National Gallery, la vision d’une radieuse Vierge à l’Enfant de Léonard de Vinci lui sape définitivement le moral. Un pasteur qu’elle rencontre au musée l’invite à lui rendre visite dans le Lancashire. Deborah et son mari partent donc pour le Nord, histoire de se changer les idées. Mais, arrivés à destination, ils apprennent que Robin Sage, leur hôte, vient de mourir des suites d’un empoisonnement accidentel. Expert en sciences légales, Simon Saint-James accueille la nouvelle avec scepticisme: l’ingestion accidentelle du poison qui a causé le décès est presque impossible !
Nicolas II – La transition interrompue
Le règne du dernier empereur de Russie a-t-il marqué l’inexorable déclin d’un régime ne pouvant déboucher que sur une rupture violente et radicale _ celle d’Octobre 1917 _ ou bien recelait-il les éléments d’une transition interrompue, celle que la Russie de Boris Eltsine, quatre-vingts ans après, s’est mise en devoir et en peine de reprendre? S’attachant au destin du dernier tsar de Russie, l’ouvrage d’Hélène Carrère d’Encausse soulève une multitude de questions. Plus que tout autre, Nicolas II, héritier des réformes d’Alexandre II, a œuvré pour la modernisation de son pays, apportant des changements profonds à l’Etat, à la société et à l’économie russes. L’échec et la révolution étaient-ils alors inscrits dès le départ dans le processus de modernisation ?