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Janet Ahlberg, Allan Ahlberg
Funnybones
EN ANGLAIS
Three skeletons–a grownup, a child, and a dog–take a walk at night through a dark town.
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Boris Vian et moi
Elsa a vingt ans, des parents trotskistes et un grand amour en déclin. Le jour où on la charge de ranger la bibliothèque de Boris Vian, l’auteur fétiche de Louis, elle croit tenir une chance de le reconquérir, quitte à tomber amoureuse du mort, au détriment du vivant.
Sang royal
York, 1541. Aux portes de la ville, quatre têtes coupées sur des piques, font le régal des corbeaux. C’est la réponse, royale et sanglante, à la conspiration papiste. Bientôt, le roi lui-même viendra mettre un terme, par sa seule présence, aux troubles de la province. D’ici là, Matthew Shardlake, avocat à la Cour, assurera la protection du meneur catholique, le bouillant Broderick, jusqu’à son transfert à Londres où l’hérétique sera remis aux questionneurs de la Tour… Quel entêtement dans son silence ! Très vite, Shardlake devine que la rébellion du Yorkshire menace bien moins l’unité religieuse du pays que la légitimité de la Couronne. Connaissant Henri VIII, dont la cruauté proverbiale a souillé le nom des Tudor, l’avocat se sait lui-même en grand danger.
1981
Été 1981. Pour la moitié du pays qui vient de porter la gauche au pouvoir, c’est un été de grâce. Pour l’autre moitié, celle qui redoute que » Mitrand » avec ses ministres communistes ne transforme l’Élysée en Kremlin, ce même été est celui de toutes les calamités. Dans le cortège mondain et militant qui accompagne Mitterrand lors de sa visite au Panthéon, Louis, fils d’un banquier qui organise la fuite des capitaux, croise Élise, jeune chargée d’études dans les premiers cercles du nouveau pouvoir. La gauche et le pays, Élise et Louis : du Panthéon à Solutré, des coulisses de l’Élysée aux banques helvétiques, avant que le romantisme ne cède la place au pragmatisme, deux histoires commencent. Et en politique comme en amour les instants de grâce se vivent d’autant plus intensément qu’on les sait éphémères.
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Un torse d’homme, sans tête ; trouvé par une : nuit torride en Alabama. On suppose qu’il appartenait, à un prostitué, tué dans le feu de la passion : Pour le chef de la police, l’affaire est classée, mais l’inspecteur Carson Ryder n’est pas satisfait : la mise en scène délibérée, l’absence totale de sang, le message étrange écrit sur la chair de la victime, tout cela trahit la préméditation. Et l’avis de Ryder compte, depuis qu’il a résolu une série de meurtres atroces, un an plus tôt. Mais ce succès est bâti sur un secret, un secret terrible, qu’il dissimule même à son meilleur ami. Or voilà qu’on découvre un autre torse mutilé, avec un message encore plus étrange. Et cette fois, le mort n’est pas un prostitué… Chassant des ombres pendant que leur patron leur coupe l’herbe sous le pied, Ryder et son équipier en viennent à comprendre que la cible réelle des crimes est toute proche. De ses premières pages, explosives, à ses ultimes rebondissements, Le Centième Homme décrit un monde absurde où les héros ne peuvent gagner sans l’aide des fous, et où les morts sont plus dangereux que les vivants.