Choi Jong Hun
Graffiti 2
C'est vraiment une grande première dans le monde des manga/manhwa que d'aborder le thème du graffiti. C'est pourtant le pari risqué qu'a fait Choi Jong Hun qui par l'intermédiaire d'un novice (Do Kyung) nous fait découvrir l'univers fermé des « writers/graffeurs » (auteurs du graffiti). On suit donc Do Kyung, qui prend des cours dans un lycée d'enseignement artistique et qui doute de son talent au point de tirer un trait sur les écoles d'art. C'est par hasard qu'il tombera sur Ghost et Headz en pleine « pose d'une pièce » c'est-à-dire en pleine réalisation d'un graffiti. La découverte de ce style, nouveau pour lui, éveillera sa curiosité et l'entraînera dans un long apprentissage des règles de base de tout bon graffeur. Voici, rapidement brossé, le scénario de cette oeuvre qui a le mérite de se lire aisément.
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Pour la première fois, les survivants de la famine et de la répression en Corée du Nord prennent la parole et livrent de terribles témoignages sur leur vie quotidienne. Dictature communiste la plus fermée au monde, classée parmi les nations de l'Axe du mal par George W. Bush, la Corée du Nord suscite crainte et curiosité. Plus de 300 000 Nord-Coréens ont réussi à fuir ce véritable « Royaume Ermite ». Tous ont vécu la peur des arrestations, des camps de concentration ou des exécutions publiques. Aujourd'hui, déracinés, clandestins en Chine ou réfugiés en Corée du Sud, ils racontent leur quotidien, leur exil, leur errance sur des terres inhospitalières, aux marges d'un monde qui les broie. Grâce à leur maîtrise des langues coréenne et chinoise, Juliette Morillot et Dorian Malovic offrent une enquête inédite et inestimable à travers des témoignages authentiques recueillis sans intermédiaire. Leur périple nous emmène aux confins de l'Asie, de la Corée du Nord à la Mandchourie chinoise, en Corée du Sud et au Japon.
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« Tu t’attendais à quoi ? Je lui ai dit. Tu crois que ça va être facile de me quitter ? Tu crois que je vais te laisser faire comme ça ? J’ai lancé le cadre par terre, le verre s’est brisé mais comme c’était pas assez, j’ai bondi du lit et j’ai déchiré la photo, celle qu’il prétendait tant aimer, la photo de nous deux en mariés, beaux et légèrement ridicules, il y avait tant de monde qu’on ne connaissait pas à notre mariage qu’on est partis avant la fin. Il a eu l’air triste, plus de la photo déchirée que du fait de me quitter. Il a toujours été fou avec les photos. Parfois je me disais qu’il n’aimait les choses de la vie que pour les voir un jour en photo. Moi c’est le contraire, rien ne me fait plus peur qu’une photo de bonheur avec toute la quantité de malheur qu’elle promet, qu’elle contient, mais sans le dire, en cachant bien son jeu. Je ne savais pas encore que c’était la meilleure chose qui puisse m’arriver, qu’il me quitte. Comment j’aurais pu le savoir ? Il était toute ma vie, sans lui je n’existais pas. »
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Depuis qu’elle a été sacrée par les juges et les journalistes trésorière occulte du RPR, l’Élysée tremble. Et si elle venait à parler, à révéler tous les secrets noirs et or dont elle a été dépositaire pendant une douzaine d’années ?… Jusqu’ici, bravement, Louise-Yvonne Casetta, surnommée « la Cassette », est restée obstinément muette. Son silence lui a coûté cher. Mais elle n’est pas la seule à avoir payé pour les ténors de la politique. Les chefs d’entreprise aussi sont sur le banc des accusés, héros mortifiés de cette saga des boucs émissaires.Au-delà de cette enquête dans les ténèbres de la démocratie se pose la question : les partis, aujourd’hui richement dotés par les contribuables, ont-ils renoncé à leurs douteuses pratiques? N’est-ce pas toujours comme avant ? Mieux qu’avant ?
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