- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Gun, with occasional music
Jonathan Lethem
Gun, with occasional music
Gumshoe Conrad Metcalf has problems—there’s a rabbit in his waiting room and a trigger-happy kangaroo on his tail. Near-future Oakland is a brave new world where evolved animals are members of society, the police monitor citizens by their karma levels, and mind-numbing drugs such as Forgettol and Acceptol are all the rage.
Metcalf has been shadowing Celeste, the wife of an affluent doctor. Perhaps he’s falling a little in love with her at the same time. When the doctor turns up dead, our amiable investigator finds himself caught in a crossfire between the boys from the Inquisitor’s Office and gangsters who operate out of the back room of a bar called the Fickle Muse.
Mixing elements of sci-fi, noir, and mystery, this clever first novel from the author of Motherless Brooklyn is a wry, funny, and satiric look at all that the future may hold.
Vous aimerez aussi
CIA-KGB – Le dernier combat
Légende vivante de l'espionnage, Milton Bearden raconte et témoigne. Aux postes les plus sensibles de la CIA à Berlin, Moscou et Kaboul, il est l'un des protagonistes de la guerre très froide qui, de 1985 à la chute du rideau de fer, opposa les services secrets de l'Est et de l'Ouest. Défections, trahisons et assassinats de part et d'autre ont mené ces affrontements à des paroxysmes jamais atteints. Fondé sur des centaines d'interviews et des détails longtemps inédits, ce document retrace l'histoire d'une génération d'hommes hors du commun, acteurs et victimes d'un bouleversement historique capital dont les effets (Afghanistan, terrorisme, Proche-Orient… ) n'ont pas fini de se faire sentir. Les enquêtes de James Risen, grand reporter au New York Times, Prix Pulitzer 2002, qui n'était pas, lui, soumis à la censure de la CIA, ajoutent au récit de Bearden un relief saisissant.
Mon père, ce harki
Enfant, j'ai adoré mon père. Adolescente, je l'ai détesté. Parce qu'il était harki, parce qu'il a soutenu l'armée française pendant la guerre d'Algérie, j'ai longtemps cru que mon père était un traître. Il n'a jamais nié. Il ne m'a jamais rien dit. Devant son silence, j'ai décidé de partir sur les traces d'un fellah et d'une bergère, mes parents, dont la vie a basculé un matin de juin 1962. Quarante ans après, j'ai refait leur parcours dans les camps où la France les a parqués : leur passé et mon présent se sont tissés, noués, intimement mêlés. Ces pages sont leur histoire et ma quête. Dans ce voyage au bout de la honte, j'ai découvert une horrible machinerie d'exclusion sociale et de désintégration humaine. Et puis j’ai traversé la Méditerranée, En Algérie, j'ai poursuivi ma quête, dans une une région en guerre contre l'islamisme, j'ai retrouvé des membres de ma famille et le village de mes parents qu'ils n'ont jamais revu. Là-bas, j'ai compris qui étaient vraiment les harkis, leur rôle dans la guerre d'Algérie, leurs tiraillements, leurs secrets aussi.
Staline – Agent du Tsar
Un demi-siècle après sa mort, on croyait tout savoir de la paranoïa destructrice de Staline, des procès de Moscou aux bagnes de Sibérie et de l’assassinat de Trotski au « complot des blouses blanches ». Sans toujours comprendre les mobiles du tyran. C’est qu’il manquait une pièce à ce jeu de massacre: Staline avait amorcé sa « carrière »… au service du tsar. Fin février 1917, à Moscou, le quartier général de la police secrète – l’Okhrana – est investi par la foule. Mais dans une chambre forte, à l’abri du saccage, dorment les dossiers de ses anciens agents. Ce parcours que décrit Roman Brackman – celle d’un agent double devenu Guide suprême – révèle la face cachée de l’homme dont Lénine, dans son « Testament », recommandait d’empêcher à tout prix l’ascension. Un réquisitoire reposant sur des témoignages et des documents inédits.
La véritable histoire de Lutte ouvrière
On dit que le parti a volontiers le goût du secret, le culte de la clandestinité, une dérive idéologique sectaire, une opacité financière qui intrigue. Des rumeurs circulent sans cesse à ce sujet. LO à la solde d’un conglomérat pharmaceutique, LO parti révolutionnaire financé par le capitalisme ? Robert Barcia, une des figures les plus éminentes du parti, a accepté de répondre aux questions de Christophe Bourseiller sur son parti, et il le fait avec franchise et clarté. Il raconte par le menu l’historique de LO depuis sa création pendant la Résistance et les mutations avec les innombrables scissions d’après-guerre entre cellules trotskistes. Pour tout connaître de la cartographie de l’extrême gauche, savoir différencier la LCR, l’OCI ou l’UC, pour être incollable sur la IVe internationale, nous ne pouvons que conseiller ce livre. Également pour tous ceux qui veulent comprendre les fondements idéologiques de LO, parti attaché à une base prolétarienne et ne cachant pas sa visée révolutionnaire.