- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Haddix – Among the impostors
Margaret Peterson
Haddix – Among the impostors
En Anglais – Luke Garner is an illegal third child. All his life has been spent in hiding. Now, for the first time, Luke is living among others. He has assumed a deceased boy’s identity and is attending Hendricks School for Boys, a windowless building with cruel classmates and oblivious teachers. Luke knows he has to blend in, but he lives in constant fear that his behavior will betray him. Then one day Luke discovers a door to the outside. He knows that beyond the walls of Hendricks lie the secrets he is desperate to uncover. What he doesn’t know is whom he can trust — and where the answers to his questions may lead him…
Vous aimerez aussi
La rage au cœur
Ce qui caractérise le plus Ingrid Betancourt ? Son amour pour la Colombie et sa haine pour tous ceux qui la détruisent. La Rage au cœur se lirait presque comme un roman. Et pour cause : tous les ingrédients sont réunis. Jeune femme de bonne famille, avec des parents engagés dans la politique – son père était ministre de l'Éducation dans les années soixante-dix et sa mère a été élue député libéral dans les années quatre-vingt –, elle suit leur chemin en abandonnant un premier mari pour se donner entièrement à son pays. Son cheval de bataille : la corruption, dans un pays où les narcotrafiquants sont rois et où les politiciens sont pour la plupart achetés. Pleine d'idéaux qui confinent parfois à la naïveté, elle raconte ici toutes ces années de lutte. De ses premiers succès électoraux où elle avait pris pour emblème le préservatif « avec Ingrid, vous êtes bien protégés » aux années noires où elle dut se séparer des ses enfants, cédant à des menaces de mort.
Le roman de la présidentielle
Ce livre de fiction couvre les neuf mois de campagne électorale de septembre 2001 à mai 2002 et s’efforce de raconter un an avant tous les soubresauts et intrigues des campagnes législative et présidentielle. Le livre s’ouvre sur une rentrée sociale agitée qui va conduire au départ des ministres communistes du gouvernement. Côté opposition, en octobre c’est le retour des ex, Giscard devient président du Sénat et Sarkozy remplace Michèle Alliot-Marie à la tête du R.P.R.. Au niveau économique, la mise en place de l’euro se transforme en un gigantesque cafouillage, et ce en pleine campagne législative. Des législatives qui débouchent sur une courte victoire de la droite, la nomination de Jérôme Monod à Matignon, puis le lancement de la campagne législative. Chirac, Bayrou, Pasqua, Villiers sont candidats à droite, Jospin, Hue, Voynet et Chevènement à gauche, Le Pen et Laguiller pour les extrêmes.
De carnets de campagne
Des municipales du mois de mars 2001, tout le monde retiendra que la droite a perdu la mairie de la capitale au profit d’un socialiste, Bertrand Delanoë. Comment cela a-t-il été rendu possible, après des lustres d’un pouvoir sans partage ? Bernard Bled, secrétaire général de la Ville de Paris sous Jean Tiberi (après avoir servi son prédécesseur Jacques Chirac), a vécu cette bataille en coulisses et l’a retracée au jour le jour, dans ses péripéties et rebondissements, sans esprit revanchard ni langue de bois. Ambitions forcenées, tractations, trahisons, traquenards sans vergogne ont évidemment concouru à cette défaite annoncée, tandis que les juges campaient aux portes de l’Elysée ou de l’Hôtel de Ville. Et la machine infernale de la désunion a poussé tibéristes et séguinistes à s’affronter jusqu’au bout sur le champ de ruines de leur duel fratricide, dont toute l’épopée est ici crûment restituée.
La conjuration
Dominique Baudis clôt sa trilogie consacrée aux « Raimond » … « Je suis impatiente de te voir mort » : telles sont les dernières paroles qu'entendra le Roi Amaury I, chuchotées à son oreille par la « putain du royaume », Agnès, sa première épouse répudiée. Nous sommes les 11 juillet 1174 et le royaume de Jérusalem, fondé par les Croisés en Terre Sainte, entre dans une décennie de décadence qui prélude à sa chute. Baudoin, le fils d'Amaury et d'Agnès, n'a que quatorze ans à la mort de son père : l'enfant-roi, lépreux, « déchiré entre le Bien et sa mère », va se décomposer à l'image de son Royaume. D'un côté, le sage chancelier Guillaume de Tyr et le régent Raimond, comte de Tripoli et seigneur de Tibériade, Franc orientalisé instruit des grandeurs de l'Islam, qui ont avec eux la plupart des seigneurs chrétiens descendants des familles établies en Terre Sainte depuis l'arrivée des premiers croisés.