Collectif
Halloween … et autres fêtes déguisées
Faites vous-mêmes votre déguisement
Des maquillages et des déguisements qui donnent la chair de poule.
Des recettes et des farces diaboliques.
De quoi faire des fêtes « terribles », dans la plus grande bonne humeur
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Nero (1) – La cinquième victime
Cette bande dessinée est dans un très bon état –
Brescia, Italie, de nos jours. Giuliano Nero, un ex-flic devenu détective privé, végète dans une sorte d’indifférence grise et apathique. Décalé, démotivé, absent. Jusqu’à ce qu’un homme, venu vers lui en désespoir de cause, parvienne à le sortir de sa torpeur : le père d’une jeune femme assassinée récemment, Silvia, retrouvée égorgée dans une scierie. Les terribles blessures qu’on lui a infligées ont été grossièrement recousues sur les lieux du crime, très certainement par son assassin. Un suspect « un repris de justice » a été arrêté presque aussitôt, et accusé du meurtre. Lors de son procès, l’homme, schizoïde avéré, reconnaîtra même les faits. Mais cette version ne parvient pas à convaincre le père de Silvia. Pétri de doutes, Nero se lance sur la trace du véritable criminel, resté impuni. La première piste sérieuse que lui fournit son enquête est celle d’un chenil, qui a tenté de joindre Silvia trois jours avant sa mort.
Amours Fragiles – 5 – Résistance
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Manuel Montano
Bande Dessinée en état quasi-neuf – Apparu pour la première fois en août 1988 dans les pages du mensuel (À Suivre), Manuel Montano, détective privé de son état, apparaît comme un improbable croisement entre Humphrey Bogart et Buster Keaton – sans oublier un soupçon de Jack Palmer pour la poisse et la déveine. L’imper mastic trop grand pour lui, le sourire en berne et l’énergie à plat : le moins qu’on puisse dire est que Manuel Montano, avec son scooter fatigué et ses méthodes qui ne le sont pas moins, ne donne pas l’impression d’être un aigle… Et pourtant, au fil de la demi-douzaine d’enquêtes qui composent ce recueil, on se prend d’affection pour cet éternel maladroit si peu efficace et tellement humain. Et si Manuel, finalement, était un peu le reflet de chacun d’entre nous ?
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