Jacques Bainville
Histoire de France
Quand il était au collège, Jacques Bainville n’aimait pas l’histoire. Que discerner dans ce tissu de drames sans suite, cette mêlée, ce chaos ? Lui voulait savoir « pourquoi les peuples faisaient des guerres et des révolutions, pourquoi les hommes se battaient, se tuaient, se réconciliaient ».
Vous aimerez aussi
Fier d’être français
Il faut bien que quelqu’un monte sur le ring et dise: « Je suis fier d’être français. » Qu’il réponde à ceux qui condamnent la France pour ce qu’elle fut, ce qu’elle est, ce qu’elle sera: une criminelle devenue vieillerie décadente. Or nos princes, qui devraient la défendre, au lieu de pratiquer la boxe à la française, s’inspirent des lutteurs de sumo! Comment ne pas chanceler dans ces conditions? Et les procureurs de frapper fort. Ils exigent que la France reconnaisse qu’elle les opprime, qu’elle les torture, qu’elle les massacre. Seule coupable! Pas de héros dans ce pays! Renversons les statues, déchirons les légendes. Célébrons Trafalgar et Waterloo, et renions Austerlitz! Ils veulent que la France s’agenouille, baisse la tête, avoue, fasse repentance, reconnaisse ses crimes et, tondue, en robe de bure, se laisse couvrir d’insultes, de crachats, heureuse qu’on ne la « nique » qu’en chanson et qu’on ne la brûle que symboliquement chaque nuit! Il est temps de redresser la tête, de hausser la voix, de monter sur le ring… et de boxer à la française!
Maréchal Rommel – La guerre sans haine
Aucun grand capitaine de la Seconde Guerre mondiale n'a écrit de récit aussi clair et aussi percutant sur la stratégie militaire que Rommel dans ses Carnets. Soucieux de tirer les leçons de ses campagnes, il rend compte mieux que quiconque du Blitzkrieg puis des combats dans le désert. En lisant ses textes, on entre au coeur de sa réflexion stratégique, toujours ancrée dans l'action. On découvre un chef de guerre qui s'est constamment affranchi des règles traditionnelles pour surprendre l'ennemi et le prendre de vitesse, mais aussi un homme pour qui les combats devaient épargner le plus possible les civils et éviter les représailles. À la fois craint et estimé par les Alliés, notamment britanniques, qui ont contribué à bâtir sa «légende», il demeure un soldat discipliné, que sa formation a toujours empêché de remettre en cause le pouvoir du Führer. Bien que sa mort ordonnée par Hitler ait interrompu ce récit, ce témoignage n'en reste pas moins capital pour l'histoire.
L’opium et le bâton
C'est l'histoire de Thala, village kabyle, pendant la guerre avec d'un coté la présence de l'armée française et le long cortège des sévices que l'on connaît, de l'autre un village avec des habitants engagés dans la vie dure des champs et qui peu à peu se trouvent entrainés dans la lutte pour la libération du pays.
Tribunal Russel – Tome I – Le jugement de Stockholm
Le Russell Tribunal, également connu sous le nom de Tribunal international des crimes de guerre et Tribunal Russell-Sartre, était un tribunal d’opinion fondé par Bertrand Russell et Jean-Paul Sartre pour dénoncer la politique des États-Unis dans le contexte de la guerre du Viêt Nam. Il a été fondé en novembre 1966 à la suite de la publication du livre de Russell, « War Crimes in Vietnam ».