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George Orwell
In defense of english cooking
Not only was George Orwell one of the greatest writers and most important political thinkers of the twentieth century, he is also the author of the bestselling Penguin title of all time: Animal Farm first published in Penguin in 1951. These heartfelt essays demonstrate Orwell’s wide-ranging appeal, and range from political manifesto to affectionate consideration of what being English truly means.
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The animal-lover’s book of beastly murder
En Anglais – Nowhere is Patricia Highsmith’s affinity for animals more apparent than in The Animal-Lover’s Book of Beastly Murder, for here she transfers the murderous thoughts and rages most associated with humans onto the animals themselves … You will meet, for example, in « In the Dead of Truffle Season, » a truffle-hunting pig who tries to whet his own appetite for a while; or Jumbo in « Chorus Girl’s Absolutely Final Performance, » a lonely, old circus elephant who decides she’s had enough of show business and cruel trainers for one lifetime. In this satirical reprise of Kafka, cats, dogs, and breeding rodents are no longer ordinary beings in the happy home, but actually have the power to destroy the world in which we live.
L’envers vaut l’endroit
Quatre milliards et demi de vivants aujourd’hui. Sept milliards en l’an 2 000. Et dix milliards en 2 025… C’est ce que l’on appelle une explosion démographique. Mais que dire des centaines de milliards de morts qui n’en peuvent plus de cette « thanatographie » galopante et redoutent plus que tout une guerre nucléaire qui grossirait leurs rangs de quelques milliards de recrues supplémentaires ? Alors les morts font savoir aux vivants qu’ils doivent s’organiser en conséquence. « Point d’armes, moins d’enfants », tel est le slogan qu’ils lancent. Et, si les vivants. n’en tiennent pas compte, les morts agiront… à leur manière.
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Jeannette est perdue. Perdue dans la foule en liesse. Dans quelques heures son mari, Gilbert Lefèvre, député-maire d’une ville du Nord, doit inaugurer la maison de la culture. Pour être à sés côtés, Jeannette s’est enfuie de la clinique où elle suivait une cure de désintoxication. Jeannette la scandaleuse : elle boit et provoque des incidents nuisibles à la carrière de son mari. On dit, pour l’excuser, qu’elle souffre de ne pas avoir eu d’enfant, mais son malheur, en vérité, c’est d’aimer, d’aimer Gilbert, depuis près de vingt ans, et de ne plus le reconnaître tout à fait. Jeannette la pitoyable. Gilbert a changé sans doute. Il est absorbé par ses fonctions. Eloigné des rêves de sa jeunesse, soucieux d’efficacité, il s’est attaché à Marie-Christine qui l’assiste dans sa tâche. Et pourtant c’est Jeannette qu’il aime.
La mare au diable
De son côté, l’homme du travail est trop accablé, trop malheureux et trop effrayé de l’avenir, pour jouir de la beauté des campagnes et des charmes de la vie rustique. Pour lui aussi les champs dorés, les belles prairies, les animaux superbes, représentent des sacs d’écus dont il n’aura qu’une faible part, insuffisante à ses besoins, et que, pourtant, il faut remplir, chaque année, ces sacs maudits, pour satisfaire le maître et payer le droit de vivre parcimonieusement et misérablement sur son domaine.