Barry Miles
In the seventies, aventures dans la contre-culture
L’esprit des sixties ne s’est pas évaporé le 31 décembre 1969… De l’activisme radical des Weathermen aux extravagances d’Harry Smith au Chelsea Hotel, des Clash aux Ramones, de Patti Smith aux New York Dolls et aux Sex Pistols, d’Allen Ginsberg à William Burroughs, des thèses révolutionnaires de Wilhelm Reich à l’explosion punk, ces souvenirs autobiographiques nous plongent dans les aventures de la contre-culture.
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Undermajordomo minor
En Anglais – Lucy Minor is the resident odd duck in the hamlet of Bury. He is a compulsive liar, a sickly weakling in a town famous for begetting brutish giants. Then Lucy accepts employment assisting the majordomo of the remote, foreboding Castle Von Aux. While tending to his new post as undermajordomo, he soon discovers the place harbours many dark secrets, not least of which is the whereabouts of the castle's master, Baron Von Aux. Thus begins a tale of polite theft, bitter heartbreak, domestic mystery, and cold-blooded murder. Undermajordomo Minor is an ink-black comedy of manners, an adventure, and a mystery, and a searing portrayal of rural Alpine bad behaviour, but above all it is a love story. And Lucy must be careful, for love is a violent thing.
Dans plusieurs pays musulmans, le statut juridique des femmes dans le droit de la famille fait débat. Ainsi, les Etats, premiers responsables de l’élaboration des lois, se retrouvent devant un défi de taille en tentant à la fois d’intégrer les normes internationales d’égalité entre les sexes et de respecter les prescriptions islamiques. De plus, ils voient leur autorité contestée par les acteurs religieux qui considèrent que le droit de la famille, traditionnellement régi par les normes coutumières et religieuses, est sacré, et qu’il n’a donc pas à être réformé. La comparaison entre deux pays où la religion musulmane est majoritaire – le Sénégal, une république laïque, et le Maroc, une monarchie où elle est religion d’Etat – montre la diversité des islams et de la charia, mais ne s’y attarde pas uniquement. Elle met également en lumière la progression des luttes féministes, menées sur plusieurs fronts, et l’importance des capacités et des sources de légitimité de l’Etat pour mener à bien la réforme.
Marième N’Diaye est chercheure postdoctorale à l’Université de Montréal, docteure en science politique de l’Institut d’études politiques de Bordeaux, chercheure associée au laboratoire Les Afriques dans le monde (LAM) et chargée de recherche au CNRS.
Laisse parler les morts
« Si vous lisez cette lettre, c’est que je suis mort. » Incapable de détourner les yeux de la feuille qu’elle tient entre ses mains tremblantes, le docteur Samantha Owens peine à respirer. Ainsi, le dénommé Timothy Savage avait tout prévu : son meurtre imminent, une liste de suspects, et même de l’argent pour l’inciter elle, la médecin légiste, à résoudre le mystère de sa mort. Pourquoi ce parfait inconnu a-t-il fait appel à ses services ? D’après l’avocat qui s’occupe du testament de Savage, la mort de celui-ci a été classée comme un suicide, car il était considéré comme fou. Mais pourquoi aucune autopsie n’a-t-elle été réalisée ? Et que signifient ces étranges tatouages, qui recouvrent le corps du défunt ? Même si cette enquête menace de bouleverser le fragile équilibre de sa vie, Samantha le sait : elle ne peut prendre le risque de laisser un crime impuni. Et, lorsque l’avocat est retrouvé assassiné, elle le comprend aussitôt : elle pourrait bien être la prochaine sur la liste.
Ma fugue chez moi
Quelques jours avant Noël, suite à une séance d’humiliation au collège, et à l’annonce que sa mère, une fois de plus, ne sera pas là pour les fêtes, Anouk décide de fuguer. Mais après une demi-journée dehors, elle rentre… et va se cacher dans le grenier. Clandestine chez elle pendant deux semaines, elle va finir par renouer avec les siens, le temps que chacun dise son inquiétude et son amour. Un roman au sujet original, pour les jeunes adolescents.