Walter Scott
Ivanhoé (deuxième partie)
A partir de 11 ans
Accompagné du vaillant archer Locksley, le légendaire Robin des Bois, le roi Richard Cœur de Lion donne l’assaut au château de Torquilstone où Ivanhoé, blessé, est retenu prisonnier. Bientôt, le jeune chevalier maniera de nouveau la lance et l’épée : mais ce sera pour tenter de sauver du bûcher une innocente jeune fille qui a placé en lui son dernier espoir…
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Miss Harriet
Le hasard les avait réunis dans la même auberge normande. Lui, jeune et beau garçon, parcourait la campagne pour peindre. Elle, c’était une ” Anglaise d’âge » dont la figure de momie ressemblait à un a hareng saur qui aurait porté des papillons ». Hélas, cette disgrâce masquait un coeur avide d’aimer. Pour une Miss Harriet que sa fierté jette au fond d’un puits, combien se contentent de pleurer comme le père Saval de Regret et le prêtre du Baptême, ou serrent les dents sur un souvenir impossible à oublier comme le héros de Garçon, un bock! à moins d’en mourir comme le paysan de La Ficelle…
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Par un chaud dimanche d’été, près du bassin du port de l’Arsenal, sur le boulevard Bourdon, à Paris, deux promeneurs, Bouvard et Pécuchet, se rencontrent par hasard sur un banc public et font connaissance. Ils s’aperçoivent qu’ils ont eu tous deux l’idée d’écrire leur nom dans leur chapeau : « Alors ils se considérèrent. ». Tombés sous le charme l’un de l’autre, Bouvard et Pécuchet découvrent que non seulement ils exercent le même métier de copiste, mais qu’en plus ils ont les mêmes centres d’intérêts. S’ils le pouvaient, ils aimeraient vivre à la campagne.
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Tout en contournant le récif du Panthéon, je ruminais une question que je devais me poser mille et mille fois par la suite, une question que je sentais déjà familière à toutes mes fibres : “Allons! Qu'est-ce qu'il' y a encore? Qu'a-t-il encore inventé?” Oui, telle était la question qui, plus ou moins bien formulée, s'élevait du fond de mon coeur quand je voyais maman serrer les lèvres jusqu'à les vider de toute cou-leur, ou quand papa préludait en public à quelqu'une de ces colères théâtrales qui avaient fait, qui faisaient encore la terreur du clan.
Les dieux ont soif
Histoire de l’ascension infernale d’Évariste Gamelin, jeune peintre parisien, engagé dans la section de son quartier du Pont-Neuf, Les dieux ont soif décrit les années noires de la Terreur à Paris, entre les ans II et III. Farouchement jacobin, fidèle entre les fidèles de Marat et Robespierre, Évariste Gamelin finira par être nommé juré au tribunal révolutionnaire. La longue et implacable succession des procès quotidiens de plus en plus expéditifs (à partir de la loi de prairial en particulier) entraîne cet idéaliste dans une folie qui le coupera de ses proches et précipitera sa propre chute à la suite de son idole Robespierre, au lendemain du 9 Thermidor.