- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Ivor – 5 – Les mercenaires vont au Paradis
Zoran
Ivor – 5 – Les mercenaires vont au Paradis
Ivor est très grièvement blessé lors d’une incursion Viking, alors qu’il se bat avec ses compagnons d’arme. Ceux-ci le conduisent vers un jeune herboriste qui, espèrent-ils, le soignera. L’hiver a passé et Ivor est sur pied. Thierry, homme d’armes du seigneur et ami d’Ivor, revient quérir l’herboriste. Il vient demander de l’aide pour sa suzeraine qui est blessée. Il semble très attaché à cette jeune princesse, mariée de force au vieux roi. L’herboriste, son loup et son ours auxquels Ivor s’est attaché, partent au château. Mais la menace Viking revient avec les beaux jours…
Vous aimerez aussi
Les nuits de l’Ange bleu
Berlin à la fin des années vingt. On sort à peine du fossé bourbeux de l’inflation galopante et on ne peut encore imaginer que le gouffre du cauchemar à bottes est pour bientôt. Le présent est là, bien en chair, qui appelle toutes sortes de caresses. On se prend à rêver. La période semble propice à l’art … A l’art d’aimer aussi. On veut vivre. Il s’agit de jouir. Et c’est bien « Ouf, jouissons! » que se dit chaque jour Manfred von Klausenberg en jetant dans la recherche du plaisir le meilleur de lui-même.
David Copperfield
Lorsqu’en 1850, il publie David Copperfield, Charles Dickens offre à ses lecteurs son premier roman écrit à la première personne et, derrière le destin de son jeune héros, c’est aussi parfois le sien qu’on peut lire. Mais ce que racontent surtout les douloureuses premières années, le dur apprentissage de la vie dans une fabrique, puis la fuite et l’errance picaresque du jeune Copperfield, c’est l’histoire d’une formation, où le personnage se fait son propre biographe.
L’absence
… Claude ne viendra pas. S'il venait j'entendrais son pas, son pas hésitant, il retardait son pas comme s'il réfléchissait, il semblait boiter, je reconnaîtrais son souffle, son souffle trop lent, son cœur trop lent, son cœur d'enfant blessé, blessé d'être né. Chaque geste, chaque mot le déchirait, il était trop intelligent, trop sensible, nous n'avons pas su le protéger, nous ne l'avons pas même rencontré… « Le premier vendredi de novembre, Claude Hartmann est parti pour Venise, emmenant sa mère mourante. Dix jours ils ont vécu ensemble, dix jours, une vie. Elle est morte. Il a disparu. Ainsi commença, ou finit, son absence… »
Werther, ce soir…
En cette fin des années 80, Orlando Natale est le meilleur ténor du monde. Du Metropolitan de New York à la Scala de Milan, de Covent Garden au Palais-Garnier, les foules se pressent pour l’entendre. De tous les rôles qu’il interprète, celui qu’il préfère est Werther… Et un soir, au théâtre de Mannheim, sous des tempêtes d’applaudissements, il rencontre Carola K. À partir de cet instant, l’Opéra et la Vie commencent à se ressembler étrangement… Des coïncidences se produisent à Munich, à Vienne, jusqu’à ce qu’arrive enfin la nuit de Venise où tout s’embrase dans le déferlement de l’orchestre et où théâtre et réalité se confondent.