- Home
- >
- Santé et bien-être
- >
- Jamais trop tard
Mathieu Cyr
Jamais trop tard
Toutes les histoires commencent de la même façon : on installe d’abord le lieu, ensuite l’époque, puis vient le personnage principal, communément appelé le héros. Ce livre commence ici, maintenant, et son héros, c’est toi. C’est sa quête, ta quête, qui est au centre de l’histoire. Quelle quête ? Celle qui nait dans l’anxiété, progresse dans la peur, et débouche sur le bonheur. Ta quête, c’est le changement.Parce qu’il est convaincu qu’il n’est JAMAIS TROP TARD, Mathieu Cyr remet en question les cheminements traditionnels et nous invite à examiner nos choix et nos habitudes de vie. Ce faisant, il déconstruit toute une série d’idées préconçues et jette un regard personnel et décomplexé sur la réinvention de soi.
Vous aimerez aussi
Savoir manger – Le guide des aliments 2006-2007
De la peau de poulet dans les nuggets que nos enfants adorent ; des boissons à l’eau minérale composées en partie… d’eau du robinet ; des édulcorants de synthèse contestés utilisés dans la fabrication de certains sodas lights ; des tranches de jambon 30 % moins chères mais avec… 30 % de viande en moins ! Voilà quelques effrayants constats du guide des aliments 2006-2007, édition remise à jour et considérablement augmentée du Savoir manger, best-seller qualifié par la presse de «Bible des aliments». Cette fois, les auteurs ont étudié en plus des produits des hypers et des supermarchés, ceux des magasins de hard discount, ainsi que les premiers prix des grandes chaînes de distribution. Pour que chacun puisse apprendre à naviguer dans la jungle alimentaire. Et pour que tout le monde prenne conscience, grâce à ce voyage au coeur des rayons, des pièges que l’on nous tend.
Douleurs – Sociétés, personne et expressions
Dans le premier volume, » Douleurs : du neurone à l’homme souffrant « , ont été exposés les points de vue des biologistes et l’approche des cliniciens. Ce second volume s’intitule : » Douleurs : société, personne et expressions » : Sociétés : face à l’expérience individuelle qu’est la douleur, c’est l’ensemble des sociétés, et pour chacune d’entre elles toutes leurs composantes, qui s’efforcent de donner une siginification aux douleurs. Celles-ci prennent alors une valeur culturelle, dont émergent croyances et pratiques sociales ; Personne : la symbolique qui s’attache à la douleur inscrit les êtres dans un vécu, une corporéité et une crainte de la souffrance. C’est une expérience du corps et de l’esprit. La douleur paraîtrait sans doute plus acceptable sans son propre souvenir… expressions : comment parler de la douleur, comment l’exprimer ? Tant en ce qui concerne le langage que les arts, les expressions des douleurs apparaissent dans les productions humaines comme des repères conventionnels ou sublimés. Chacun y fait référence avec sa culture, sa sensibilité, mais aussi son langage et les mots qu’y consacre sa langue.
Comment j’ai perdu 20 kilos et changé de vie !
A 18 ans, Nathalie Mur est une jeune femme active, sportive et svelte. Puis tout doucement, bercée par le train-train quotidien, elle prend une vingtaine de kilos sans y prêter attention. Le jour où la balance affiche 78 kilos pour 1,72m, c'est le déclic ! Nathalie décide de maigrir avec l'aide d'un coach en nutrition sportive qui va lui enseigner les préceptes du » mieux manger « . Au fur et à mesure qu'elle se déleste de ses kilos, la jeune femme timide et mal dans sa peau retrouve confiance en elle. C'est le début d'une véritable métamorphose. Les agences de mannequins lui font les yeux doux, alors Nathalie partage son temps entre son métier d'hôtesse de l'air, les séances photo, les défilés, et les salles de sport qu'elle fréquente assidûment. Puis la belle décide de se lancer un nouveau défi devenir sculpturale pour participer à des concours de Fitness model aux Etats-Unis. Première sur le podium à Miami fin 2009, les magazines américains se passionnent pour son parcours hors du commun. La frenchie a de nouveaux challenges à relever, le conte de fées ne fait que commencer…
Les enfants de l’indicible peur
Ce livre met en lumière un visage inconnu de l’enfant autiste. Si cet enfant n’est jamais entré dans le » monde des gens », c’est qu’il a été frappé d’une indicible peur devant son étrangeté et médusé par sa beauté. Cette révélation rend la figure du petit garçon ou de la petite fille hors du temps et hors d’atteinte tout à coup moins énigmatique. C’est non seulement cette rencontre manquée avec l’Autre que Henri Rey-Flaud nous fait découvrir, mais encore les stratégies savantes mises en oeuvre par l’enfant pour ne pas être submergé par le réel, ni emporté par la dynamique du langage : ainsi Sarah accrochée à son coquillage-fétiche ou Antonio maniant son miroir, lieu de sa disparition et de sa renaissance. Que ces défenses soient insuffisantes à contenir sa peur, c’est ce dont témoigne la façon qu’il a de murer son regard, sa voix et son corps. Une rétention, quelquefois totale, difficile à soutenir pour les parents.