Salla Simukka
Je m’appelle Lumikki (2) – Blanc comme la neige
Après une sombre enquête qui l’a mêlée à un trafic de drogue, Lumikki Andersson s’est promis de ne plus se laisser impliquer dans les affaires des autres. Partie à Prague, elle profite d’un répit bien mérité. Seule. Anonyme. C’est du moins ce qu’elle croit. Mais sa rencontre avec l’étrange Lenka, qui prétend être sa sœur, l’entraîne dans une nouvelle enquête. Propulsée au cœur de secrets de famille enfouis, confrontée au pouvoir d’une secte puissante, Lumikki va tenter de percer la vérité. Malheureusement, malgré les apparences, rien n’est jamais blanc comme la neige…
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Une étrange maladie de peau qui lui livre bataille depuis qu’il est né, la polio qui le laisse infirme et claudiquant depuis l’enfance, et toutes les frustrations qui s’en suivent, Thierry n’a pas eu l’existence facile. Il a un don, cependant : le dessin. Mais quand il se retrouve élève dans un atelier, à dix-huit ans, un autre péril le menace : le cours est mixte. Diane, sa blondeur, sa beauté, ses jupes écossaises et ses attentions, voici une calamité nouvelle à quoi il n’est guère préparé … le plaisir doux-amer de l’amour mal partagé.
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Tour à tour aventurier, communiste, résistant, visionnaire, romancier, ministre, André Malraux est une personnalité marquante de l’histoire du XXe siècle français. C’est cette vision protéiforme, unique et originale qui traverse Les Conquérants. Publié en 1928, ce livre dérouta la critique de l’époque, à la fois essai, récit de voyage, reportage, roman ou document historique. Divisé en trois parties, « Les approches », « Puissances » et « L’homme », il retrace la vie, en pleine révolution chinoise, de Garine et Borodine, aventuriers visant à l’émancipation du peuple chinois.
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De son côté, l’homme du travail est trop accablé, trop malheureux et trop effrayé de l’avenir, pour jouir de la beauté des campagnes et des charmes de la vie rustique. Pour lui aussi les champs dorés, les belles prairies, les animaux superbes, représentent des sacs d’écus dont il n’aura qu’une faible part, insuffisante à ses besoins, et que, pourtant, il faut remplir, chaque année, ces sacs maudits, pour satisfaire le maître et payer le droit de vivre parcimonieusement et misérablement sur son domaine.