- Home
- >
- Santé et bien-être
- >
- J’élève mon enfant
Laurence Pernoud
J’élève mon enfant
Livre de psychologie, de diététique, de médecine, de sciences humaines, et aussi livre pratique, J’élève mon enfant est l’ouvrage le plus complet sur les premières années de la vie de l’enfant jusqu’à la fin de l’école maternelle. Comme J’attends un enfant, J’élève mon enfant est mis à jour chaque année.
Vous aimerez aussi
L’esthétique corporelle
Maurice Rouet est l’un des auteurs qui a le plus développé et expérimenté les techniques de développement personnel. Et ce livre, riche de plus de 300 illustrations, photos, planches d’exercices, tableaux, surpasse en précision tout ce qui a été publié sur l’esthétique corporelle féminine. Tous les aspects y sont abordés.
Et il ne s’est pas démodé et ne se démodera pas.
La grosse et la maigre
L’une pèse la moitié de l’autre. Quel est le poids réel ou imaginaire des kilos dans la vie amoureuse, familiale, professionnelle, sociale ? Christiane Collange, 82 kg , et Claire Gallois, 42 kg, se posent sans concession les questions qui obsèdent tant de femmes – et tant d’hommes – dans une société qui confond trop souvent l’être et le paraître. Leurs réponses sincères et imprévues confirment qu’il ne s’agit pas d’un mince problème.
Comment rester jeune après 40 ans
La ménopause est pour de nombreuses femmes accompagnée de véritables troubles. Trop souvent, elles les subissent sans oser en parler, comme si en souffrir était normal. Trop de femmes ignorent qu'aujourd'hui la médecine a les moyens de traiter efficacement ces troubles. L'auteur s'insurge contre les préjugés et donne ici les recettes pour préserver au mieux sa jeunesse, sa santé et sa sexualité. Les femmes ont gagné la bataille de la contraception, il leur appartient maintenant de gagner celle de la jeunesse. Voici l'ouvrage le plus complet jamais réalisé sur la ménopause, pour franchir allégrement ce cap difficile.
Douleurs – Sociétés, personne et expressions
Dans le premier volume, » Douleurs : du neurone à l’homme souffrant « , ont été exposés les points de vue des biologistes et l’approche des cliniciens. Ce second volume s’intitule : » Douleurs : société, personne et expressions » : Sociétés : face à l’expérience individuelle qu’est la douleur, c’est l’ensemble des sociétés, et pour chacune d’entre elles toutes leurs composantes, qui s’efforcent de donner une siginification aux douleurs. Celles-ci prennent alors une valeur culturelle, dont émergent croyances et pratiques sociales ; Personne : la symbolique qui s’attache à la douleur inscrit les êtres dans un vécu, une corporéité et une crainte de la souffrance. C’est une expérience du corps et de l’esprit. La douleur paraîtrait sans doute plus acceptable sans son propre souvenir… expressions : comment parler de la douleur, comment l’exprimer ? Tant en ce qui concerne le langage que les arts, les expressions des douleurs apparaissent dans les productions humaines comme des repères conventionnels ou sublimés. Chacun y fait référence avec sa culture, sa sensibilité, mais aussi son langage et les mots qu’y consacre sa langue.