- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Jerry Spring -5- La passe des indiens
Jijé
Jerry Spring -5- La passe des indiens
Sur le territoire des Indiens Utes, une famille de pionniers est massacrée. Jerry Spring et Pancho découvrent les corps criblés de flèches et préviennent le shérif de la ville voisine. Tous trois se rendent à la réserve indienne pour enquêter, mais le chef Long-Cri leur certifie que les Utes ont définitivement enterré la hache de guerre et que ses guerriers n’ont attaqué aucun visage pâle depuis des années. Le shérif est sceptique, tout comme ses concitoyens qui souhaitent organiser des représailles et parlent de « casser de l’Indien » comme au bon vieux temps, avant la signature des traités et la création de la réserve. Lorsqu’une nouvelle victime est découverte, blessée d’une flèche dans le dos, le shérif propose d’organiser une patrouille pour battre la campagne, à la recherche des assassins.
Vous aimerez aussi
Ave Caesar
Il était une fois un homme, une femme… Ayant vécu ensemble, ils ont beaucoup parlé et pensent se connaître. Un jour, ils décident de « s’écrire », de se raconter l’un à l’autre leur enfance, leurs amours, leurs échecs. Ils croyaient se lancer dans une entreprise facile mais les mots qui se heurtent dans leurs lettres alternées remettent leur vie en question. Ils s’interrogent, mais, s’exposant totalement au jeu de la vérité, le duo devient duel. L’aventure épistolaire frôle le drame. Est-ce l’apothéose saignante d’une rupture qui s’annonce ? Ils ne se sépareront pas. Au contraire, ils se rapprocheront l’un de l’autre parce que, poussé, contredit, aidé par une femme, un homme acceptera d’accoucher du petit César qui vit en lui, ni plus ni moins fragile et solide que tous les autres hommes. Cette parole d’homme qui jaillit pour la première fois, les femmes l’espèrent depuis toujours et beaucoup d’hommes, aujourd’hui, tentent de l’exprimer. Elle est dans ce livre et prouve qu’on ne meurt pas d’elle. Elle aide à respirer les hommes comme les femmes.
Le KGB en France
« Farewell » : c’est le titre d’un dossier ultrasecret dont François Mitterrand prend connaissance un jour de juin 1981. Mais « Farewell » c’est avant tout le nom de code d’un très haut responsable du KGB qui est devenu l’un des espions les plus importants de ce siècle en passant au service de la Direction de la surveillance du territoire (DST). Grâce à « Farewell », la France a pu expulser quarante-sept « diplomates » soviétiques en 1983. Grâce à « Farewell », une centaine d’espions de Moscou ont été découverts dans le monde entier. Jamais ce secret explosif n’avait été révélé ! Thierry Wolton dresse ici le tableau stupéfiant et exhaustif des méthodes utilisées par les services de renseignements soviétiques, à travers des dizaines d’histoires vraies et des centaines d’anecdotes puisées aux meilleures sources.
Je n’ai aimé que vous
Myriam Dulac a disparu. Est-elle morte ? A-t-elle rejoint, au-delà des mers, ceux dont elle partageait peut-être l’espoir et les combats ? A-t-elle voulu, par cette fuite, manipuler secrètement les désirs d’autrui ? Laura, une jeune photographe qui l’a suivie des années durant à travers le monde, ignore tout, presque tout. Pourtant, et impérieusement, il lui faut retrouver la trace de cette femme troublante.Quête intense, déraisonnable, qui la conduit à prendre sa place entre son mari et sa fille : peut-on se glisser sans risque dans une vie qui ne vous appartient pas ? Où commence et où finit la vérité d’un sentiment ? Plusieurs personnages traverseront ce tumulte ; ils s’y perdent, s’y brûlent, avec délices et frayeurs, au fil d’une aventure qui mêle les urgences de chacun en une seule vague d’amour. Mais qui peut vraiment dire : je n’ai aimé que vous ? Il faudra entendre ces quelques mots comme le bruit d’un destin hésitant ; comme l’écho de la passion qui court entre les êtres, qui les sépare ou les précipite, tout proches, parmi songes et mensonges.
L’un est l’autre
– Certains voient dans l’opposition entre hommes et femmes l’essence même de leurs relations : naturelle serait la confiscation de tous les pouvoirs au profit des hommes, naturelle aussi la division sexuelle des tâches. – C’est cette conception que dénonce Élisabeth Badinter dans ce livre, celle qui confond un moment de l’histoire — la prédominance du patriarcat — avec une constante de notre nature. – Mais, homme ou femme, sommes-nous réellement prêts à remettre en question le modèle millénaire de la complémentarité au profit de celui de l’identité ?