- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Jerry Spring -5- La passe des indiens
Jijé
Jerry Spring -5- La passe des indiens
Sur le territoire des Indiens Utes, une famille de pionniers est massacrée. Jerry Spring et Pancho découvrent les corps criblés de flèches et préviennent le shérif de la ville voisine. Tous trois se rendent à la réserve indienne pour enquêter, mais le chef Long-Cri leur certifie que les Utes ont définitivement enterré la hache de guerre et que ses guerriers n’ont attaqué aucun visage pâle depuis des années. Le shérif est sceptique, tout comme ses concitoyens qui souhaitent organiser des représailles et parlent de « casser de l’Indien » comme au bon vieux temps, avant la signature des traités et la création de la réserve. Lorsqu’une nouvelle victime est découverte, blessée d’une flèche dans le dos, le shérif propose d’organiser une patrouille pour battre la campagne, à la recherche des assassins.
Vous aimerez aussi
La fermeture – 1946 : la fin des maisons closes
13 avril 1946 : la fin des maisons closes. Pierre Mac Orlan déclarait : « C'est la base d'une civilisation millénaire qui s'écroule. » A travers cet ouvrage, Alphonse Boudard, précisément, se penche sur cette civilisation, non seulement en historien des mœurs éprouvé, mais aussi en écrivain, avec la truculence, la gouaille et la verve qu'on lui connaît. Derrière l'inamovible attelage du maquereau, de la pute et du flic, pierre angulaire du système, il nous entraîne de l'âge de pierre à la IIle République, ère de la bourgeoisie triomphante. Nous entrons, avec lui, dans les maisons renommées mais aussi dans celles où les « filles » faisaient plus de soixante-dix passes par jour. Guide avisé, Alphonse Boudard ne nous laisse rien ignorer également des pièces étranges où les pervers assouvissaient leurs vices. Et celle par qui tout est arrivé, Marthe Richard ? Alphonse Boudard a rassemblé son dossier. Et ce qu'il découvre n'est pas triste…
Chat huppé
Dis-moi qui tu hantes, je te dirai qui tu es… Cet adage pourrait s’appliquer au chat, ce satellite de l’homme, caméléon qui le renvoie à lui-même comme un miroir. Il n’est que de voir le maître pour deviner l’animal. Pour Béjart, le chat est souplesse, détente musculaire. Ne va-t-il pas jusqu’à faire des entrechats… Bilal prête à Ernest un regard « peuplé », riche de toutes les images de son univers fantastique. Mais Jimmy, le chat de Troisgros est gourmand. Normal. Quand on vit dans l’intimité d’un si grand chef, on préfère la fricassée de grenouilles aux langues de chat. Certains ont l’oreille musicale, ils se baladent sur les pianos. D’autres aiment qu’on leur fredonne le fameux Chabada bada… Et ceux qui sont d’un naturel chagrin ? A ceux-là, il faut peut-être signaler l’existence du « Charnu » ! Autant de personnalités, autant de félins…
Kaffir Boy
En Anglais – The classic story of life in Apartheid South Africa. Mark Mathabane was weaned on devastating poverty and schooled in the cruel streets of South Africa’s most desperate ghetto, where bloody gang wars and midnight police raids were his rites of passage. Like every other child born in the hopelessness of apartheid, he learned to measure his life in days, not years. Yet Mark Mathabane, armed only with the courage of his family and a hard-won education, raised himself up from the squalor and humiliation to win a scholarship to an American university. This extraordinary memoir of life under apartheid is a triumph of the human spirit over hatred and unspeakable degradation. For Mark Mathabane did what no physically and psychologically battered « Kaffir » from the rat-infested alleys of Alexandra was supposed to do — he escaped to tell about it.
L’un est l’autre
– Certains voient dans l’opposition entre hommes et femmes l’essence même de leurs relations : naturelle serait la confiscation de tous les pouvoirs au profit des hommes, naturelle aussi la division sexuelle des tâches. – C’est cette conception que dénonce Élisabeth Badinter dans ce livre, celle qui confond un moment de l’histoire — la prédominance du patriarcat — avec une constante de notre nature. – Mais, homme ou femme, sommes-nous réellement prêts à remettre en question le modèle millénaire de la complémentarité au profit de celui de l’identité ?