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Joseph Brosseau
J’offrirai d’avoir gueulé
Un soir de Noël 1966, à Nantes, une jeune fille de dix-sept ans, Arlette, meurt terrassée par une leucémie. En recevant le sacrement des malades, elle prononce cette parole du Petit Prince : » Au moment de se quitter, on risque de pleurer un peu, si on s’est laissé apprivoiser « . Cet ouvrage relate l’aventure spirituelle d’une employée de maison jociste au long des quatre mois de sa maladie. Elle connaîtra la nuit de la souffrance, le désert de la solitude et la lumière de la foi, irradiant son entourage de son sourire et de son humour. Mis à l’épreuce, c’est pourtant l’amour qui l’emporte : ce don qui conduit à s’abandonner à Dieu jusqu’au moment ultime. » J’offrirai d’avoir gueulé « ..
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