Jean-François Robin
Journal d’un tournage : La fille du Puisatier
Jean-François Robin nous raconte avec passion le tournage de « La Fille du Puisatier » parce qu’en homme d’image, il l’a « vécu de l’intérieur ». Il nous dévoile les anecdotes du filmage, les angoisses de l’acteur-metteur en scène, mais aussi les joies et même les larmes de toute une équipe. Il parle des tensions qui surgissent là où on ne les attend pas, des fous rires, de l’exaltation de chacun et de la connivence de tous. Il raconte la construction des travellings dans la forêt, dans les rivières, les scènes de jour tournées la nuit et les scènes de nuit tournées le jour. Sans oublier ce vent de folie, le mistral, qui a soufflé sur tout le tournage. Avec ce journal quotidien, Jean-François Robin nous entraîne avec enthousiasme dans les coulisses de ce grand mélodrame qu’est « La Fille du Puisatier ».
Vous aimerez aussi
Fortune de France – 10 – Le lys et la pourpre
Avril 1624, octobre 1627. Trois années marquées par de nombreux événements : entrée de Richelieu au Conseil du roi, guerres incessantes contre les huguenots, entreprises galantes du duc de Buckingham auprès de la reine de France… A la cour, les intrigues se multiplient : Anne d’Autriche conspire avec Monsieur, frère du roi, contre son époux. La noblesse insoumise cherche à faire tomber le Cardinal. Exils, geôles, décapitations punissent les rebelles ; le siège de La Rochelle commence. L’Etat royal s’affirme envers et contre tout, à travers la complicité qui se noue peu à peu entre le jeune roi et son ministre. Devenu comte d’Orbieu, Pierre-Emmanuel de Siorac, fidèle agent de Louis XIII, traverse au gré de ses missions les milieux les plus divers : il côtoie courtisans, manants, aubergistes, ribaudes, marins, connaissant autant d’aventures galantes que d’intrigues politiques… Roman au rythme endiablé, tableau d’histoire fidèle et vivant : dans le prolongement de Fortune de France, Robert Merle nous donne un nouveau chef-d’oeuvre.
Fortune de France – Tome I
De la mort de François Ier en 1547 à l'édit de Nantes en 1599, la France s'enlise dans l'épreuve des guerres de religion. C'est dans ce pays dévasté, en proie à la misère, au brigandage, à la peste, à la haine, que grandit le jeune Pierre de Siorac, rejeton d'une noble famille périgourdine et huguenote, héros et narrateur du roman. Dès ce premier volume d'une saga qui nous conduira jusqu'à la fin du siècle, c'est toute une époque qui revit à travers l'histoire des Siorac, avec ses paysans, ses princes, ses hommes d'épée ou d'Église, ses truculences et ses cruautés; sa langue, aussi, savoureuse, colorée, merveilleusement restituée au lecteur d'aujourd'hui. Époque où peu à peu va naître une exigence de tolérance et de paix, en écho au cri d'indignation et d'espoir de Michel de l'Hospital : « Ne verra-t-on la Fortune de France relevée ? »
Point de mire
Quand Nick Stone, l’agent de l’Intelligence Service, rate une tentative d’assassinat approuvée en haut lieu, ses patrons ne lui laissent pas le choix : il doit partir au Panama pour terminer sa mission ou bien Kelly, sa protégée, une petite orpheline de onze ans, sera tuée. A n’importe quelle autre période de sa vie, cette mission aurait été facile pour Stone. Mais il est à la croisée des chemins et voudrait bien changer de vie. En arrivant au Panama, il est sur le point de craquer. Dans ce pays, il ne faut pas se fier aux apparences et, très vite, il se retrouve au centre d’une conspiration meurtrière où sont impliqués la guérilla colombienne, le gouvernement américain et la haute finance chinoise. Une conspiration qui pourrait coûter la vie à des centaines d’innocents… Stone est maintenant le seul qui puisse empêcher ce massacre.
Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire
Alors que tous dans la maison de retraite s’apprêtent à célébrer dignement son centième anniversaire, Allan Karlsson, qui déteste ce genre de pince-fesses, décide de fuguer. Chaussé de ses plus belles charentaises, il saute par la fenêtre de sa chambre et prend ses jambes à son cou. Débutent alors une improbable cavale à travers la Suède et un voyage décoiffant au cœur de l’histoire du XXe siècle. Car méfiez-vous des apparences ! Derrière ce frêle vieillard en pantoufles se cache un artificier de génie qui a eu la bonne idée de naître au début d’un siècle sanguinaire. Grâce à son talent pour les explosifs, Allan Karlsson, individu lambda, apolitique et inculte, s’est ainsi retrouvé mêlé à presque cent ans d’événements majeurs aux côtés des grands de ce monde, de Franco à Staline en passant par Truman et Mao…