- Home
- >
- Santé et bien-être
- >
- Journal d’une grosse repentie
Sonia Dubois
Journal d’une grosse repentie
Perdre cinquante kilos quand on en pèse cent trente ! Quel défi ! A donner le vertige. Avec pour seule compensation, au départ, l’écriture. Ce journal qu’on tient et qui vous soutient quand le corps vous obsède, que l’âme vous trahit et qu’on veut retrouver la ligne… Sonia Dubois en a assez de tricher. Elle se prétendait heureuse. A la télé, elle était l’alliée des femmes rondes, on la trouvait géniale. Mais, en sont for intérieur, elle rêve d’une paire de jeans. La plus mythique, la plus légendaire. Un 501 ! Pari tenu ! Sonia raconte sa cure comme une aventure : ses tentations obsessionnelles, ses achats compulsifs, le pourquoi et le comment de sa gourmandise d’hier. Figure de proue de la diététique, elle dit ses espoirs, sa fringale de vivre, sa quête de bonheur. Son combat pour revenir au monde.
Vous aimerez aussi
Comment rester jeune après 40 ans – Version hommes
Aujourd’hui, se sentir vieux à 45 ou 50 ans n’est plus une fatalité ! l’homme est légitimement désireux de conserver sa jeunesse, de goûter à tous les plaisirs, y compris les joies de la sexualité, le plus longtemps possible. Avec la précision du scientifique, le savoir du médecin, la connaissance du praticien, le docteur Elia donne à chacun les moyens de mieux se connaître et de mieux préparer son corps au vieillissement.
Douleurs – Sociétés, personne et expressions
Dans le premier volume, » Douleurs : du neurone à l’homme souffrant « , ont été exposés les points de vue des biologistes et l’approche des cliniciens. Ce second volume s’intitule : » Douleurs : société, personne et expressions » : Sociétés : face à l’expérience individuelle qu’est la douleur, c’est l’ensemble des sociétés, et pour chacune d’entre elles toutes leurs composantes, qui s’efforcent de donner une siginification aux douleurs. Celles-ci prennent alors une valeur culturelle, dont émergent croyances et pratiques sociales ; Personne : la symbolique qui s’attache à la douleur inscrit les êtres dans un vécu, une corporéité et une crainte de la souffrance. C’est une expérience du corps et de l’esprit. La douleur paraîtrait sans doute plus acceptable sans son propre souvenir… expressions : comment parler de la douleur, comment l’exprimer ? Tant en ce qui concerne le langage que les arts, les expressions des douleurs apparaissent dans les productions humaines comme des repères conventionnels ou sublimés. Chacun y fait référence avec sa culture, sa sensibilité, mais aussi son langage et les mots qu’y consacre sa langue.
La méthode Gesta
Naturelle, efficace, simple et facile à appliquer, La Méthode Gesta qui a permis aux plus grandes vedettes de retrouver la ligne et la grande forme s’adresse à tous : hommes et femmes, grignoteurs, boulimiques, « victimes » de repas d’affaire, fumeurs qui veulent arrêter de fumer sans prendre du poids, mais aussi aux surmenés, aux anorexiques, à tous ceux dont le métabolisme est perturbé. Basée sur une alimentation énergétique, contrairement aux régimes classiques, La Méthode Gesta permet de rester dynamique. La Méthode Gesta, évitant les privations inutiles, privilégie la notion de plaisir. Redécouvrir les saveurs et le bienfait des bans produits consommés dans de bonnes conditions est la clef d’un savoir-manger qui favorise le bien-être corporel.
Les enfants de l’indicible peur
Ce livre met en lumière un visage inconnu de l’enfant autiste. Si cet enfant n’est jamais entré dans le » monde des gens », c’est qu’il a été frappé d’une indicible peur devant son étrangeté et médusé par sa beauté. Cette révélation rend la figure du petit garçon ou de la petite fille hors du temps et hors d’atteinte tout à coup moins énigmatique. C’est non seulement cette rencontre manquée avec l’Autre que Henri Rey-Flaud nous fait découvrir, mais encore les stratégies savantes mises en oeuvre par l’enfant pour ne pas être submergé par le réel, ni emporté par la dynamique du langage : ainsi Sarah accrochée à son coquillage-fétiche ou Antonio maniant son miroir, lieu de sa disparition et de sa renaissance. Que ces défenses soient insuffisantes à contenir sa peur, c’est ce dont témoigne la façon qu’il a de murer son regard, sa voix et son corps. Une rétention, quelquefois totale, difficile à soutenir pour les parents.