- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Kaffir Boy
Mark Mathabane
Kaffir Boy
En Anglais – The classic story of life in Apartheid South Africa. Mark Mathabane was weaned on devastating poverty and schooled in the cruel streets of South Africa’s most desperate ghetto, where bloody gang wars and midnight police raids were his rites of passage. Like every other child born in the hopelessness of apartheid, he learned to measure his life in days, not years. Yet Mark Mathabane, armed only with the courage of his family and a hard-won education, raised himself up from the squalor and humiliation to win a scholarship to an American university. This extraordinary memoir of life under apartheid is a triumph of the human spirit over hatred and unspeakable degradation. For Mark Mathabane did what no physically and psychologically battered « Kaffir » from the rat-infested alleys of Alexandra was supposed to do — he escaped to tell about it.
Vous aimerez aussi
Une vie de chat
Voici un roman de chat écrit par un chat. Oui, les chats savent écrire. Parce qu’ils savent se taire, observer, écouter et donner le meilleur d’eux-mêmes, rien que le meilleur. Le chat Tiffauges écrit donc, ici, le roman de sa vie. Il dit « je », ce qui en principe est le privilège des humains, bipèdes, doués de Raison. Il dit aussi Tiffany, sa première épouse ; Tityre, sa seconde épouse ; Abel, son maître, écrivain de métier, un obstiné qui écrit toujours le même roman, jamais le même roman, et qui, malgré tout, contre vents et marées, persiste et signe. Ce roman écrit par le chat Tiffauges est un chant d’amour, et d’humour, à ses épouses et à son maître. C’est aussi et surtout, un chant de tous les jours, une vie de chat, rien qu’une vie de chat, et ce n’est pas rien, du début à la fin.
Ave Caesar
Il était une fois un homme, une femme… Ayant vécu ensemble, ils ont beaucoup parlé et pensent se connaître. Un jour, ils décident de « s’écrire », de se raconter l’un à l’autre leur enfance, leurs amours, leurs échecs. Ils croyaient se lancer dans une entreprise facile mais les mots qui se heurtent dans leurs lettres alternées remettent leur vie en question. Ils s’interrogent, mais, s’exposant totalement au jeu de la vérité, le duo devient duel. L’aventure épistolaire frôle le drame. Est-ce l’apothéose saignante d’une rupture qui s’annonce ? Ils ne se sépareront pas. Au contraire, ils se rapprocheront l’un de l’autre parce que, poussé, contredit, aidé par une femme, un homme acceptera d’accoucher du petit César qui vit en lui, ni plus ni moins fragile et solide que tous les autres hommes. Cette parole d’homme qui jaillit pour la première fois, les femmes l’espèrent depuis toujours et beaucoup d’hommes, aujourd’hui, tentent de l’exprimer. Elle est dans ce livre et prouve qu’on ne meurt pas d’elle. Elle aide à respirer les hommes comme les femmes.
L’étudiant étranger
Invité par une prestigieuse université de Virginie, un jeune Français découvre émerveillé la vie dorée des college boys, leurs équipes sportives, leur campus dans une vallée paradisiaque. C’est le temps d’une Amérique sage, celle d’avant l’explosion des moeurs et le fracas des années soixante. Très vite, le jeune homme comprend qu’il reste un « étudiant étranger ». Il va franchir des lignes, transgresser des tabous, sans même s’en rendre compte : d’abord en faisant l’amour avec une jeune institutrice noire, April. Ensuite en tombant amoureux d’une héritière de Boston, Elisabeth, personnage fantasque et corrosif… Sur un ton limpide de sincérité, ce récit de formation ressuscite, avec humour et nostalgie, les jours fragiles de l’adolescence, quand « tout était la première fois ».
A nous deux Manhattan
Effrontée, immorale et belle jusqu'à l'indécence, Maximilienne Amberville découvre, à vingt-neuf ans, que son aptitude au plaisir n'a d'équivalent que son ardeur au travail. Elle s'y jette corps et âme : l'empire de presse fondé par son père menace de s'écrouler. Et l'artisan de cette ruine n'est autre qu'un de ses oncles, Cutter Amberville, l'homme des menées obscures… A nous deux, Manhattan, est le drame du pouvoir et de la trahison, de l'amour vrai et de l'obsession érotique. L'action se déroule de nos jours dans le monde de la presse et son héroïne est la plus vivante, la plus fascinante, la plus sensuelle jamais peinte par Judith Krantz, l'auteur de l'Amour en héritage. On ne lâcherait pas son livre avant la fin pour un empire… de presse. Valérie Hanotel, Madame Figaro. Attendez seulement de faire la connaissance de Maxi Amberville et de son imprévisible famille : en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, la mauvaise note qu'a récoltée votre gamin ou le bruit que s'obstine à faire votre voisin, toutes ces contrariétés qui vous collent au quotidien disparaîtront comme par enchantement. (Claude Servan-Schreiber, Marie-France).