René Potamio
La faille de Saint-Christau
Victor a quatre ans quand son père part pour faire la guerre. Il commence alors à courir la campagne, toujours seul, petit sauvageon sans contrainte et sans interdit. Sa mère, restée seule, très occupée par les travaux de la ferme, ne peut l’empêcher de vagabonder à sa guise, allant de plus en plus loin par monts et par vaux. Fasciné par une mystérieuse faille dans la falaise qui surplombe la Vézère, il rencontre un jour un vieil ermite, seul survivant d’un groupe de moines troglodytes. Ce dernier confie à Victor tout ce qu’il sait de la Faille et de ses trésors. Cela devient son précieux secret. Mais la guerre qui éclate à nouveau l’obligera-t-elle à tirer un trait sur ces doux rêves d’aventuriers?
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Après la mort brutale de ses parents, Martin Hopkins part vivre dans la région du Yorkshire, chez la sinistre Mme Crow. Qu’attend donc de lui cette inquiétante personne ? De mystérieuses cérémonies nocturnes se tiennent dans l’enceinte d’une usine nucléaire désaffectée, à proximité du village. Avec, pour seul indice, l’inscription » Les Portes du diable » griffonné à la hâte sur le mur. Martin et son unique ami, le journaliste Richard Cole, vont tenter de déjouer le terrible complot qui menace la paix du monde.
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Histoire de l’ascension infernale d’Évariste Gamelin, jeune peintre parisien, engagé dans la section de son quartier du Pont-Neuf, Les dieux ont soif décrit les années noires de la Terreur à Paris, entre les ans II et III. Farouchement jacobin, fidèle entre les fidèles de Marat et Robespierre, Évariste Gamelin finira par être nommé juré au tribunal révolutionnaire. La longue et implacable succession des procès quotidiens de plus en plus expéditifs (à partir de la loi de prairial en particulier) entraîne cet idéaliste dans une folie qui le coupera de ses proches et précipitera sa propre chute à la suite de son idole Robespierre, au lendemain du 9 Thermidor.
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