Barbara Chase-Riboud
La grande Sultane
La grande sultane, après La Virginienne qui a connu un immense succès international, nous amène à nouveau dans le monde de l’esclavage, mais cette fois de l’esclavage blanc.
Vous aimerez aussi
Les taxis de la marne
La première vertu de ce livre brûlant, c’est l’éloquence. Elle s’exhale d’un cœur en deuil, elle jaillit d’une âme indignée. Je dis bien d’une âme. L’homme de Dutourd a une âme. Il paraît que l’homme aurait une âme. Pas une conscience intellectuelle. Une âme. Qu’il y en aurait de grandes et de petites. On voit que Dutourd ne recule devant nulle nouveauté. N’en doutons plus : Les taxis de la Marne datent un tournant de la sensibilité française.
La France et l’ONU (1945 à 1995)
L’histoire de la diplomatie française depuis la fin de la seconde guerre mondiale à nos jours, et plus particulièrement son rôle en tant que membre permanent du conseil de sécurité de l’ONU.
La France dans l’Europe de Hitler
Quel rôle était assigné à la France dans l’Europe que devait régir le « Reich millénaire » ? Que représentaient les hommes de Vichy et de Montoire pour la race des Seigneurs ? Qu’attendait-on à Berlin de la collaboration ? Ce livre répond à ces questions capitales avec une sûreté d’analyse et un luxe de détails exceptionnels. Replacés dans la stratégie générale de Hitler, Pétain, Laval, de Brinon et beaucoup d’autres prennent les dimensions qui leur étalent assignées par l’envahisseur. On connaissait déjà le détail de certaines rencontres entre le Maître, ses disciples ou ses victimes ; on appréciait plus difficilement les raisons et les intentions du Führer. Une documentation considérable fait de ce livre, qui faisait défaut de toute évidence, un ouvrage de référence désormais fondamental.
Dix jours qui ébranlèrent le monde
Dix jours qui ébranlèrent le monde de l’Américain John Reed (1887-1920) retrace avec une intensité et une vigueur extraordinaires les premières journées de la révolution russe d’Octobre 1917. John Reed parcourt en toute liberté Petrograd, la « capitale rouge », recueille les analyses des principaux acteurs politiques et écoute le peuple de Petrograd dans les cercles qui se formaient sur les places publiques, à la porte des boulangeries, à l’intérieur des casernes. Plus qu’une simple énumération des faits ou un recueil de documents, John Reed propose une série de scènes vécues, des tableaux pris sur le vif. De retour aux États-Unis, il rassemble l’essentiel de ses observations et revit, dans l’urgence, cette aventure humaine dont il apparaît encore aujourd’hui comme l’un des témoins les plus proches.