- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- La jungle en folie -18- Le fantome du Bengali
Mic Delinx
La jungle en folie -18- Le fantome du Bengali
En 1969, il crée, sur scénario de Christian Godard, la série qui va le rendre célèbre, La Jungle en folie. Christian Godard raconte que c’est Mic Delinx qui vient le solliciter, désespéré parce qu’on ne lui donne plus de travail à Pilote et qu’il a charge de famillen 2. Godard, qui apprécie le talent de Mic Delinx, trouve alors un sujet pouvant lui convenir qu’il propose au rédacteur en chef de l’hebdomadaire Pif, qui se montre intéressé et demande un essai sur vingt pages. Le succès est immédiat et les gags de La Jungle en folie sont publiés régulièrement dans Pif jusqu’en 1978 puis de manière occasionnelle jusqu’en 19864,5.
Vous aimerez aussi
Les cavaliers du Veld
Afrique du Sud – Le cap de Bonne-Espérance ! Le bien nommé pour ceux qui abordent la pointe sud-africaine, ce 20 avril 1688. Des aventuriers ? Non. Des exilés. Des bannis. Pour la plupart huguenots, boutés hors de France après la révocation de l'édit de Nantes. Au début l'aventure leur est douce. Rien ne les rebute. Ni l'effort, ni la peine, ni la précarité de leur condition. Mais voilà qu'on veut les asservir ! Et ceux-là mêmes qui les ont attirés, les Intendants du Cap, avide,, et arrogants. A nouveau il faut partir. L'exode cette fois-ci. Vers Veld, où hommes et femmes, sous l'impulsion d'Alonse Joubert et de l'intrépide Barberine, affrontent la steppe et ses dangers. Des temps héroïques qui voient naître une nouvelle race, celle des Boers.
Amerika – Les USA sous occupation soviétique
Fin des années 1980 : à l’issue d’une guerre éclair, les soviétique ont envahi les USA. Ils ont placé à la tête du pays un président collaborationniste et installé un goulag au Texas. La patrie de Lincoln est devenue la terre de Lénine…
Simon l’embaumeur ou la solitude du magicien
Simon est chercheur. Non conformiste, mal à l’aise au sein de la communauté scientifique, il observe sans complaisance le genre humain. Ses inventions – du « paquet-cadœuf » au « bordel à chats » – paraissent vaines ou cocasses mais elles font l’actualité et lui permettent de vivre. Jusqu’au jour où Simon rencontre un étrange homme gris, sorte de double de lui-même, qui changera le cours de son existence.
Henri IV, le passionné
Henri IV, a écrit lui-même à son sujet : « Les uns me blâment d’aimer trop les bâtiments et les riches ouvrages; les autres la chasse, les chiens et les oiseaux; les autres les cartes, les dés et autres sortes de jeux; les autres les dames et les délices de l’amour: les autres les festins, banquets et friandises; les autres les assemblées, comédies, bals, danses et courses de bagues… Mais aussi dirai-je que, ne passant pas la mesure, tout cela me devrait plutôt être dit à louange qu’à blâme! « D’ailleurs, je ferai voir à ces gens que je quitterais maîtresses, amours, chiens, oiseaux, brelans, bâtiments, festins, banquets et toutes autres dépenses de plaisir et de passe-temps, plutôt que je perde la moindre occasion et opportunité pour acquérir honneur et gloire. » Lorsque la nouvelle de sa mort tomba sur Paris, nous dit un témoin, elle éteignit « la lumière du plus grand roi de la terre et le meilleur ». En province, sur les chemins, des paysans hagards, les bras croisés, guettaient courriers et voyageurs susceptibles de leur donner quelques détails sur la « désastreuse nouvelle ». Lorsqu’ils apprirent que le « père du peuple n’était plus, ils se répandirent à travers champs, « comme brebis sans pasteur, ne pleurant pas seulement, mais criant et bramant comme forcenés ». Selon son habitude, André Castelot s’est rendu sur place afin de faire revivre celui qui fut peut-être le plus grand roi de notre Histoire et dont l’existence forme un extraordinaire roman.