Sidiki Kaba
La Justice universelle en question – Justice de blancs contre les autres ?
L’intérêt de cet ouvrage est de mettre en perspective certaines ambiguïtés de la justice pénale internationale, les ressorts politiques qui les sous-tendent et le caractère encore inachevé de l’édifice en cours. En évoquant les cas de Charles Taylor, de Saddam Hussein, de Pinochet et de Hissène Habré, Sidiki Kaba relate les calculs politiques qui ont entouré leurs procès, ou l’absence de procès. On saisit la trame politique des procédures inachevées ou expéditives et des délocalisations sans raison, sinon politique, des procès.
.
Vous aimerez aussi
Comment j’ai perdu 20 kilos et changé de vie !
A 18 ans, Nathalie Mur est une jeune femme active, sportive et svelte. Puis tout doucement, bercée par le train-train quotidien, elle prend une vingtaine de kilos sans y prêter attention. Le jour où la balance affiche 78 kilos pour 1,72m, c'est le déclic ! Nathalie décide de maigrir avec l'aide d'un coach en nutrition sportive qui va lui enseigner les préceptes du » mieux manger « . Au fur et à mesure qu'elle se déleste de ses kilos, la jeune femme timide et mal dans sa peau retrouve confiance en elle. C'est le début d'une véritable métamorphose. Les agences de mannequins lui font les yeux doux, alors Nathalie partage son temps entre son métier d'hôtesse de l'air, les séances photo, les défilés, et les salles de sport qu'elle fréquente assidûment. Puis la belle décide de se lancer un nouveau défi devenir sculpturale pour participer à des concours de Fitness model aux Etats-Unis. Première sur le podium à Miami fin 2009, les magazines américains se passionnent pour son parcours hors du commun. La frenchie a de nouveaux challenges à relever, le conte de fées ne fait que commencer…
Un cri surgi de la nuit
Yaya est un jeune étudiant de vingt-trois ans. Ployant sous le fardeau de sa condition d’enfant illégitime, abandonné dès la naissance par une mère au destin tragique, brouillé avec un grand-père qui l’a élevé seul, mais, surtout, l’âme ruinée par le viol d’une amie auquel il a assisté, impuissant, à treize ans, il se réfugie dans la solitude et une foi solide. L’auteur nous entraîne dans une histoire sombre, dans laquelle le lecteur assiste à la destruction d’un homme par les non-dits et l’hypocrisie d’une société encore plus sombre.
Autour d’Anita
L’amitié tendre et passionnée n’existe qu’entre femmes », écrivait Tolstoï. Autour d’Anita magnifie cette amitié, celle d’Élise et d’Anita, celle de Saly devenue solidaire d’une cause et naviguant entre la fidélité et ladite amitié. Meurtries par la lâcheté de l’aimé, des femmes interrogent leurs conditions depuis le péché originel et nous plongent dans des réflexions déniant certaines croyances, déconstruisant même certains clichés.
Bien repasser en dix leçons
Au fil des années qui passent, Laura, Orane, Solène, Edith et Martha repassent leur linge et leurs histoires de femmes avec ou sans homme, avec ou sans enfants. Dans la panière presque toujours pleine de ces cinq femmes, il y a les serviettes et les torchons du ménage, leurs jupes et leurs corsages, mais aussi les chemises des maris, des amants, les pyjamas et les jeans des enfants. Sous la semelle du fer, il y a la trame et la chaîne du linge qui sont aussi la trame et la chaîne de la vie.