Irina Drozd
La mouette
De 6 à 9 ans – En vacances avec ses parents à Saint-Malo, Françoise aime déambuler, seule. Une mouette semble l’accompagner, puis Daniel. Voilà qu’un soir des garçons l’attendent pour l’agresser. Elle échappe à ses poursuivants et Daniel lui sauve la vie. Les vacances sont finies, à l’an prochain. Une trame dépourvue de sensibilité, d’émotivité et de réalisme
Vous aimerez aussi
Fausses jumelles et vrais sosies
Dès 12 ans – 156 pages – On a volé l’échelle de corde de Bouboule. Finies les escapades nocturnes du gros gourmand ! Et, comble d’infortune, on veut le faire chanter pour lui rendre son instrument. Tarzan et les TKKG l’ont décidé : il faut traiter cette affaire tambour battant. Il se trouve que les maîtres chanteurs voient grand, et l’affaire se corse lorsqu’ils décident d’opérer à … grande échelle
Toujours joyeux ! Saint Dominique Savio
Cette courte vie de Dominique Savio (1942 – 1954) en 13 chapitres est le cadeau de communion par excellence : Dominique Savio fit très jeune sa première communion (à 7 ans) alors que traditionnellement elle était à 12 ans. C’est cette maturité spirituelle que l’on découvre au fur et à mesure du récit. La vie de Dominique touche car dès tout petit, il prit sa foi au sérieux, n’hésitant pas à la vivre à plein et à la partager autour de lui, se montrant auprès de ses camarades un véritable témoin du Christ et un leader dans le bien. Pie XII canonisa le jeune italien le 12 juin 1954 saint patron des jeunes.
L’année de la grande peste (Journal d’Alice Paynton)
Tante Nell est revenue toute pâle du marché. Elle a entendu deux hommes discuter des listes hebdomadaires qui recensaient les victimes. Il paraît que la semaine dernière, sept cents personnes sont mortes de la maladie. La peste s’est donc bel et bien installée à Londres. Une longue discussion a eu lieu à la maison, et je vais devoir partir pour Woolwich avec tante Nell. J’ai refusé de m’en aller sans mon chien et Papa a cédé. Au moins Poppet apportera un peu de joie à la ferme. On m’a envoyée me renseigner sur les horaires de départ des péniches, mais quelque chose m’a arrêtée en chemin : une croix rouge était peinte sur une porte de la rue voisine. Au-dessus de la croix était écrit : “Dieu aie pitié de nous.”»
Pris sur le vif
Personne ne savais grand-chose sur Adam Bates, à part qu'il était bizarre et renfermé. Il venait d'une classe d' »adaptation », comme ils disent, et je supposai qu'il avait été libéré pour bonne conduite, à la manière d'un prisonnier, afin de suivre le cours de sciences avec notre admirable classe « adaptée ». Il s'installa à côté de moi et il me plut tout de suite. Moi qui voulais devenir reporter photographe, je tenais là un excellent sujet…