James Clavell
La noble maison
Dans La Noble Maison, James Clavell décrit un monde où la couleur, l’exotisme, l’action sont omniprésents. La description de Hong-Kong, dans les années 1960, fournit beaucoup plus qu’un cadre: elle représente l’essence même du roman. Car, à travers elle, Clavell conte la folle histoire des rapports entre les Britan-niques, administrateurs de la colonie, qui règnent en maîtres sur cette ruche frénétique, et les Chinois, qui parviennent tou-jours à traiter à leur avantage avec leurs dominateurs.
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De son côté, l’homme du travail est trop accablé, trop malheureux et trop effrayé de l’avenir, pour jouir de la beauté des campagnes et des charmes de la vie rustique. Pour lui aussi les champs dorés, les belles prairies, les animaux superbes, représentent des sacs d’écus dont il n’aura qu’une faible part, insuffisante à ses besoins, et que, pourtant, il faut remplir, chaque année, ces sacs maudits, pour satisfaire le maître et payer le droit de vivre parcimonieusement et misérablement sur son domaine.
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