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Christine Metcalf
La passion des chats
Les chats à robe lisse et les chats au pelage duveteux, les grands chats et les petits chats, ceux qui ont un pedigree et ceux qui n’en ont pas, les chats à poils longs et les chats à poils ras, les chats joueurs et les chats énigmatiques – tous sont représentés ici par 138 superbes photographies en couleurs. Christine Metcalf, juge d’expositions et éleveur expérimentée, évoque non seulement le plaisir de vivre en compagnie des chats et la manière de les soigner mais décrit aussi les différentes races y compris les plus récentes.
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Xaviera Hollander, de son vrai nom Xaviera de Vries, est née d’un père hollandais et d’une mère franco-allemande à Surabaya, dans ce qui était alors encore les Indes orientales néerlandaises. Elle est une actrice, call-girl et écrivain de romans érotiques.
Les déclassés
Chronique picaresque des années 60 et 70, sabbat délirant, éducation sentimentale et politique, Les Déclassés, publié pour la première fois aux Editions Le Sagittaire en 1976, est devenu le roman culte, non-américain, d’une génération française. On y croise tous les gauchismes, les avant-gardes, les Black Panthers, le MLF à ses débuts, freaks, hippies et toute la compagnie.
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Depuis les travaux de Bourdieu-Passeron et de Baudelot-Establet, nous ne pouvons plus croire à l’école libératrice, enceinte sacrée, préservée des bruits et des conflits du monde… et qui traiterait à égalité les enfants de toutes les classes sociales. Mais alors le risque est extrême de ne voir dans l’école qu’un territoire désolé où rien de valable ne peut se passer, où rien de valable n’aurait été conquis. Maîtres et élèves seraient les jouets passifs et inconscients d’une gigantesque mystification. …
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Biographie ou roman, l’essentiel (au moins à mon sens) est d’abord affaire de langage, et aujourd’hui qu’on méprise si fort la prose, ce qui s’appelle la prose, il me plaît qu’un de mes cadets, arrivant à maturité, aux lecteurs qui parcourent les livres sans les couper donne d’abord cette leçon de français contemporain, dont il n’y a point de chaire dans nos écoles. Il y a très longtemps qu’on n’a pas écrit ainsi, je veux dire avec cette jeune maîtrise de la phrase, qui fait penser qu’il en va de celle-ci comme des femmes, jamais si belles qu’en négligé.