Charles Lecoeur
La pensée religieuse de Victor Hugo
180 pages – Recueil de poèmes de Victor Hugo sélectionnés par l’auteur afin de montrer un lien entre littérature, religion et spiritualité.
Vous aimerez aussi
Le parti pris des choses
Dans Folioplus classiques, le texte intégral, enrichi d’une lecture d’image, écho pictural de l’oeuvre, est suivi de sa mise en perspective organisée en six points : – MOUVEMENT LITTÉRAIRE : À contre-courant – GENRE ET REGISTRE : Le poème réfléchi – L’ÉCRIVAIN À SA TABLE DE TRAVAIL : L’élaboration du recueil – GROUPEMENT DE TEXTES : Cosmogonie poétique – CHRONOLOGIE : Francis Ponge et son temps – FICHE : Des pistes pour rendre compte de sa lecture Recommandé pour les classes de lycée.
Le parti pris des choses
Dans Folioplus classiques, le texte intégral, enrichi d’une lecture d’image, écho pictural de l’oeuvre, est suivi de sa mise en perspective organisée en six points : MOUVEMENT LITTÉRAIRE : À contre-courant. GENRE ET REGISTRE : Le poème réfléchi. L’ÉCRIVAIN À SA TABLE DE TRAVAIL : L’élaboration du recueil. GROUPEMENT DE TEXTES : Cosmogonie poétique. CHRONOLOGIE : Francis Ponge et son temps. FICHE : Des pistes pour rendre compte de sa lecture Recommandé pour les classes de lycée.
Jeux lémuriens
Avec la magnificence d’un verbe prolixe usant à étonner de termes typiques de paradis prodigues (Caraïbe, Réunion, autres Belles Exotiques ), les poèmes de Julienne Salvat nous plongent au cœur d’un monde d’encore souffrances où la blessure de l’esclavage : « condamnés, roués vifs, éventrés, guillotinés, Kafres, Marrons… » est toujours sous-jacente.
L’évocation jusqu’à l’incantation de l’opulente nature d’Outre toutes ces Mers, si elle nous émerveille par la
richesse d’une langue puissante mais maîtrisée, reste incapable de consoler le souvenir de cette mémoire noire.
« L’envers du poème » y garde « une lumière détresse » que ne cessent de raviver des « pensées en eau farouche”
Julienne Salvat est née à la Martinique en 1932 et réside à l’Ile de la Réunion. Elle a mené une carrière de professeur de lettres modernes.
Lettres à Prunelle
Quatrième de couverture – « Prunelle, si tu savais… Il faut, pour vivre, ne pas se laisser vivre, mais vivre dans l’urgence, ne pas laisser le temps filer, glisser entre les doigts. Si tu cours, tu iras plus vite. Si tu marches, tu iras plus loin. Si tu cries, tu seras entendue. Si tu parles, tu seras écoutée.

