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Maître Choa Kok Sui
La psychothérapie pranique
La Psychothérapie pranique comble le fossé entre l’esprit, le physique et le système d’énergie humain, fournissant de nouvelles dimensions aux pratiques et mesures psychothérapeutiques traditionnelles Ce livre offre un guide simple mais compréhensible et efficace du traitement des maladies psychologiques : anxiété, stress, phobie, réaction compulsive-obsessive, dépression, impuissance sexuelle, tendances suicidaires et violentes, addiction a la drogue, alcoolisme, retard mental et autres conditions similaires.
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Rome n’est plus dans Rome, elle est toute où je suis
Y a-t-il 2 églises ? Et qu’est-ce qu’au juste qui les sépare ? La rupture porte-t-elle sur le fond ou sur la forme ? S’agit-il de soutanes ou bien de dogmes et de morale ? Des évêques onanistes et avorteurs auraient-ils trahi l’Évangile ? L’auteur organise sagement, méthodiquement, scrupuleusement sa réponse autour de documents capitaux : cités ou ressuscités, ils bouleversent les certitudes paresseuses, font sursauter les consciences tranquilles, violentent les âmes assoupies, dans une lumière originale de piété et d’insolence qui ne laisse indifférent ni croyant ni mécréant.
Le rêve cistercien
Découvertes Gallimard / Philosophie et Religion – Les cisterciens voulaient mener une vie monastique parfaite, sans compromission avec le siècle. Leur aventure spirituelle, commencée en 1098, est toujours actuelle, et concerne aujourd’hui quelque sept mille moines et moniales. Mais le rêve cistercien va bien au-delà d’une quête confinée aux monastères où vivent des chrétiens épris d’absolu. Il a profondément modifié les relations de l’homme à la nature, à la société, à l’art. Dès le XIIe siècle, la volonté de réforme et les aspirations mystiques de solitaires volontairement coupés du monde ont déterminé des métamorphoses qui nous concernent tous. Historien et archéologue, Léon Pressouyre nous convie à ce retour aux sources.
Journal 1833 – 1842 (Prince Ivan S. Gagarine)
Si le nom de Gagarine fait spontanément penser à un célèbre cosmonaute russe, il désigne ici une personnalité religieuse hors du commun à bien des égards. Prince russe, jeune diplomate promis à une brillante carrière, le prince Ivan Gagarine se convertit en 1842 au catholicisme et entre au noviciat des jésuites l’année suivante. En 1855, devenu le père Jean Gagarine, il commence à mettre en place la Bibliothèque slave de Paris, avec le souci de rapprocher la Russie orthodoxe et le catholicisme occidental. C’est dans cette perspective qu’il fonde en 1856 la revue Etudes, qui continue jusqu’à aujourd’hui et fait preuve d’un beau dynamisme. Son journal est édité pour la première fois en français dans sa version intégrale : marqué dans son écriture par l’époque romantique, il évoque à la fois son parcours de diplomate et son cheminement spirituel.
L’édit de Nantes – Réflexions pour un pluralisme religieux
Signé en 1598 par Henri IV, l’édit de Nantes est paradoxalement plus connu pour sa révocation, un siècle plus tard. Exalté depuis comme un chef-d’oeuvre de tolérance, par opposition à l’intolérance de Louis XIV et de ses dragons, il a acquis une valeur symbolique qui excède largement sa portée réelle. Pierre Joxe lui restitue son véritable sens : compromis nécessaire à l’ordre public, il fut surtout utile à l’enracinement de la monarchie absolue. Mais retracer cette histoire fournit aussi à l’auteur l’occasion d’une réflexion plus large sur l’organisation du pluralisme religieux dans la société française. Dans un dernier chapitre inédit, il revient longuement sur les problèmes de l’organisation du culte musulman, depuis le Corif (Conseil de réflexion sur l’islam en France) dont il prit l’initiative, jusqu’à l’instauration du Conseil français du culte musulman, parachevée par Nicolas Sarkozy. A la lumière de ces débats, l’édit de Nantes prend alors un relief particulier, en devenant le symbole du respect du pluralisme religieux inhérent à l’idée de laïcité.