Jean-Claude Bourret
La science face aux extra-terrestres
Que se passera-t-il le jour où nous entrerons en contact avec une civilisation extra-terrestre? Question doublement fascinante. D’abord parce qu’elle implique l’existence d’autres vies dans l’univers. Et c’est un pas important dans notre compréhension du cosmos. Ensuite parce qu’elle n’écarte pas la possibilité d’un contact direct entre « eux » et nous. Or, ce n’est pas un auteur de science-fiction qui a soulevé ce fantastique problème. Non. Ce sont tout simplement des exobiologistes, des sociologues, des astrophysiciens, des psychologues, bref, des savants bien de chez nous avec leurs diplômes et leurs certitudes.
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Qu’on lui jette la première pierre
« … Quand on tournait les yeux vers les murs, le regard s'arrêtait. Tout s'arrêtait aux murs. Les murs n'étaient éloignés du bâtiment où se trouvait le dortoir que de cinq mètres. Je pensais alors que la liberté était là, à cinq mètres. Cinq mètres et vingt ans. »
Ni tout à fait la même ni tout à fait une autre
Faut-il dire la femme… ou les femmes d’aujourd’hui Et qui est-elle ou qui sont-elles ? Il y a Délia, toute jeune mariée, amoureuse, mais qui défend farouchement sa liberté; il y a Emma, l’adolescente dangereusement piégée dans les filets d’une secte mystique; il y a Françoise, journaliste indépendante qui sait vivre comme un homme… D’autres encore, fragiles ou conquérantes ou frustrées. Traversant les drames et les fêtes de l’existence, ces femmes se rencontrent, se parlent et se découvrent. Lucidement. Crûment. Comme jamais leurs aînées n’auraient osé le faire. Et si les hommes à leur tour, en lisant ce livre, osaient découvrir leur compagne d’aujourd’hui ? Ni tout à fait la même ni tout à fait une autre…
L’adieu à la femme sauvage
Une petite fille de douze ans et demi, Johanna, quitte la maison familiale pour se rendre avec sa meilleure amie au cirque voisin qui donne une séance spéciale pour le Carnaval. Quoi de plus prosaïque et de plus normal, si ce n’est que la scène se passe à Dresde un soir de février 1945 et que cette même nuit se déchaîne le bombar-dement anglo-américain qui, en trois vagues successives, va entièrement détruire une ville demeurée jusqu’ici à l’écart de la guerre, tuant une grande partie de ses habitants et causant avec des moyens, « conventionnels » l’une des plus meurtrières catastrophes de l’Histoire. Voici donc Johanna plongée; sans que rien ne l’y ait préparée, dans une brutale apocalypse qui va ensevelir son univers familier. Dès lors elle prend la fuite, entraînant avec elle sa mère qu’elle vénère, mais qui, gravement traumatisée par le drame et ses conséquences, n’est plus désormais qu’une « femme sauvage » repliée sur elle-même, psychiquement en état de choc…
Le templier de Jérusalem
Il y avait un siècle que, au cri de « Dieu le veult ! », ils étaient partis, hommes et femmes de toute condition, avec une ferveur inouïe, vers cette terre dont ils ne savaient rien, pour libérer le tombeau du Christ. Et ils avaient réussi. Autour de Jérusalem reconquise, ils avaient fondé un royaume, à l'image de ce qu'ils connaissaient, avec un roi et des barons, des prêtres et des évêques, et des fiefs, des châteaux, des églises – et toutes leurs querelles. Et ils avaient créé des Ordres, dont celui des Templiers.
Il y avait un siècle, et le royaume latin de Jérusalem, miné par ses divisions, menacé par Saladin, appelait à l'aide les princes et les seigneurs d'Occident. Seule, une nouvelle croisade pouvait sauver la Terre sainte. C'était le temps où Notre-Dame commençait à s'élever au cœur de Paris, le temps aussi où Henri Plantagenêt et Philippe Auguste, tout occupés à se faire la guerre, détournaient leurs regards du Saint-Sépulcre. C'est dans ce temps-là qu'un jeune seigneur du Rouergue, Guilhern d'Encausse, était fait chevalier et héritait du serment de son père: se croiser. Il quittait sa femme, ses enfants et ses pauvres terres d'entre Larzac et Cévennes, prenait le chemin de l'Orient.