Collectif
L’ABCdaire du cheval
Propose des commentaires détaillés des différents usages du cheval (armée, attelage, courses, labour, randonnée…), les différentes races (arabe, anglais, percheron…), les différents types d’élevage et de harnachement ainsi que la place du cheval dans l’histoire et la mythologie (amazone, licorne, centaure, Pégase).
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Pour rétablir la vérité
Non achevé au moment du décès de son auteur, il a été mis en ordre et publié selon les souhaits de Pompidou par sa veuve, Claude Pompidou et par Jean-François Saglio. Le titre Pour rétablir une vérité n’a pas été choisi par l’auteur lui-même et est un extrait des premières pages de la partie sur mai 1968. Il expose dans l’introduction une conception d’un pouvoir solitaire où le président après avoir écouté les avis décide au final seul.
Héros et Dieux du nord
Héros et dieux du Nord s'inscrit dans la série des guides iconographiques après La Bible et les saints, Héros et dieux de l'Antiquité et les Dieux du bouddhisme. La mythologie nordique, contrairement à celle du monde gréco-romain, est assez mal connue en France : ce volume se propose de nous la faire découvrir, notamment à travers les représentations artistiques qu'elle a suscitées de la préhistoire à nos jours.Près de cent cinquante notices – de AEgir (Océan) au géant Ymir, en passant par le « beau dieu » Baldr, l'énigmatique Loki, Odinn, Thorr, les valkyries – mettent donc en scène les différents personnages du panthéon scandinave, auxquelles s'ajoutent quelques notices plus générales sur l'art viking, les gravures rupestres, les sagas ou encore le mythographe islandais Snorri Sturluson (début du XIIIe siècle). Comme pour les précédents volumes de la série, chaque notice comprend la tradition mythologique, les principales représentations, les attributs éventuels, les sources (saga, Edda, etc.), une bibliographie et des renvois aux notices corrélatives.
Moi, l’homme qui rit
« François Hollande, quand j’ai évoqué avec lui ce projet de L’homme qui rit, a eu ce sourire malicieux que ses plus proches savent lire. Il signifiait que cette idée loufoque le rebutait, voire l’agaçait. Depuis ce jour, il ne m’a jamais reçu, malgré mes demandes insistantes. Il avait raison. D’une certaine manière, il m’a donné carte blanche pour m’introduire par effraction dans sa zone sombre. Je n’ai pas bénéficié de sauf-conduit. Je suis entré dans le labyrinthe d’un homme insaisissable. »
L’abeille et l’architecte
François Mitterrand est un de ceux qui croient qu’il n’est de bonne écriture qu’exacte. Tandis qu’il mène sa vie d’homme d’action, un autre en lui observe le vent « grande rumeur dans le ciel immobile », garde le rythme des jours avec l’odeur du blé, l’odeur du chêne, la suite des heures. L’écrivain qu’il est laisse place à l’élan du rêve, aux sensations, aux émotions. Il nous donne la Crète, le vertige du Kremlin, les canards sauvages virant de bord à Manhattan, l’angoisse du Japon, son étonnement devant le retournement communiste. L’homme d’Etat dialogue avec Kissinger, venu le voir chez lui à Paris, avec Brejnev – ce qui nous permet de saisir une clef de l’empire soviétique. Il parcourt le monde avec son bâton de pèlerin socialiste.