- Home
- >
- Grand format
- >
- Larousse des arbres
Jacques Brosse
Larousse des arbres
Chênes ou hêtres de nos forêts, magnolias, rhododendrons ou pommiers de nos jardins : plus de 1 600 arbres et arbustes sont ici recensés. Les descriptions botaniques qui permettent leur identification alternent avec les histoires fabuleuses : légendes et mythes des espèces enracinées dans le sol européen depuis l’Antiquité, récits mouvementés des découvertes et des acclimatations des « belles étrangères »… Lorsque les nymphes habitent les chênes, lorsque l’une d’elles se métamorphose en laurier pour échapper aux assauts d’un dieu, Jacques Brosse est le conteur idéal. Spécialiste de la mythologie des arbres, auteur d’ouvrages sur la nature et les grandes explorations, il nous offre une somme botanique exceptionnelle avec ce Larousse des arbres.
Vous aimerez aussi
Britannicus
Britannicus est la deuxième grande tragédie de Racine. Pour la première fois, l’auteur prend son sujet dans l’histoire romaine. L’empereur Claude a eu de Messaline un fils, Britannicus, avant d’épouser Agrippine et d’adopter Néron, fils qu’Agrippine a eu d’un précédent mariage. Néron a succédé à Claude. Il gouverne l’Empire avec sagesse au moment où débute la tragédie. Racine raconte l’instant précis où la vraie nature de Néron se révèle : sa passion subite pour Junie, fiancée de Britannicus, le pousse à se libérer de la domination d’Agrippine et à assassiner son frère.
Le Roman de Renart
Renart est de triste réputation parmi les animaux qui, souvent, ont subi à leurs dépens son caractère malin, sa ruse et sa cupidité. Mais l’expert en tromperies se trouve parfois battu sur son propre terrain, et par des créatures aussi inoffensives que le coq Chanteclerc ! En revanche, lorsqu’il s’en prend au loup Ysengrin, Renart s’attire un ennemi redoutable car le loup, qui est loin d’avoir un coeur d’agneau, n’aura de cesse de se venger… Les savoureuses aventures du sieur rouquin, ses hauts faits, et ses démêlés avec la société des animaux.
La divine comedie
Peut-on encore aujourd’hui aimer Francesca, être troublé par Ugolino, trembler aux tourments des damnés de la Comédie ? L’Enfer de Dante, poétique et médiéval, n’a-t-il pas pâli irréparablement auprès des Enfers tout proches, et actifs, que notre époque n’a pas encore fini, semble-t-il, de susciter ? L’imagination créatrice de Dante est si puissante, et si précise, qu’elle semble décrire par avance, parfois, l’inimaginable horreur moderne. Le gigantesque entonnoir de l’Enfer, qui se creuse jusqu’au centre de la terre, est dépeint comme le réceptacle de tout le mal de l’univers, comme une sorte de sac où viennent s’engouffrer tous les noyaux, tous les atomes de mal épars sur la planète. Mais nous lisons aussi autre chose dans L’Enfer plus que le catalogue effrayant des péchés et des châtiments possibles, il correspond pour nous au départ de l’exploration, à la première étape du grand roman initiatique d’une civilisation qui est la racine de la nôtre.
Zadig
» Qu’il est dangereux de se mettre à la fenêtre et qu’il est difficile d’être heureux dans cette vie ! » Ainsi soupire Zadig, jeune Babylonien, devenu favori du roi et promis à une enviable destinée. Pour être tombé amoureux de la reine Astarté, le voilà obligé de fuir, rendu à la condition d’esclave, victime des brigands, des fanatiques religieux, en butte aux pires catastrophes… Mais à travers ce cheminement capricieux, la Providence veille et l’homme est à sa place. C’est aussi ce que découvre cet habitant de Sirius qui, à l’aide d’un rayon de soleil, parcourt la Voie lactée. Quelle surprise en effet pour Micromégas de voir que l’homme, si petit et si misérable qu’il soit, tient son rôle dans l’univers grâce à son esprit… Désinvoltes et primesautiers, deux contes qui charment et enchantent…