- Home
- >
- Spiritualité
- >
- Le chemin de la justice
P. D. Bramsen
Le chemin de la justice
Le chemin de la justice transporte le lecteur à travers les écrits des prophtes afin de découvrir le but inaltérable de Dieu pour l’humanité et pour entendre sa merveilleuse réponse à la question posée par le prophète Job vieille de quatre mille ans.
Vous aimerez aussi
Fin du peuple juif ?
Ce livre est une réflexion sur la société israélienne et, à travers elle, sur le passé, le présent et l'avenir des juifs. Venu pour observer une expérience, Georges Friedmann s'est trouvé, en Israël, personnellement impliqué par la prise de conscience du judaïsme et les âpres discussions qu'elle y suscite. Sommes-nous réduits au choix entre une conception mystique de la judaïcité et une autre qui voit en elle un accident de l'histoire ? Comment le récent massacre de six millions de juifs a-t-il été possible ? Loin d'assister à sa résurrection, ne discernons-nous pas aujourd'hui la fin du « peuple juif », rongé par l'assimilation dans la Diaspora et par l'israélisation sur la terre des Promesses ?
L’édit de Nantes – Réflexions pour un pluralisme religieux
Signé en 1598 par Henri IV, l’édit de Nantes est paradoxalement plus connu pour sa révocation, un siècle plus tard. Exalté depuis comme un chef-d’oeuvre de tolérance, par opposition à l’intolérance de Louis XIV et de ses dragons, il a acquis une valeur symbolique qui excède largement sa portée réelle. Pierre Joxe lui restitue son véritable sens : compromis nécessaire à l’ordre public, il fut surtout utile à l’enracinement de la monarchie absolue. Mais retracer cette histoire fournit aussi à l’auteur l’occasion d’une réflexion plus large sur l’organisation du pluralisme religieux dans la société française. Dans un dernier chapitre inédit, il revient longuement sur les problèmes de l’organisation du culte musulman, depuis le Corif (Conseil de réflexion sur l’islam en France) dont il prit l’initiative, jusqu’à l’instauration du Conseil français du culte musulman, parachevée par Nicolas Sarkozy. A la lumière de ces débats, l’édit de Nantes prend alors un relief particulier, en devenant le symbole du respect du pluralisme religieux inhérent à l’idée de laïcité.
Paranormal – Une vie en quête de l’au-delà
Que se passe-t-il après la mort ? Atteint d’une maladie non diagnostiquée et en pleine dépression, le Dr Raymond Moody en a eu un premier aperçu lorsqu’il tente de se suicider à l’âge de 47 ans. Ce qu’il entrevoit alors le pousse à s’interroger plus encore sur la fascination pour l’au-delà qui l’anime depuis sa prime enfance. À 23 ans seulement, Raymond Moody est le premier à s’engager dans la recherche sur les Expériences de Mort Imminente, un domaine inexploré à cette époque. Recueillant des témoignages et s’essayant à des expériences sous hypnose, il s’emploie à examiner la possibilité de vies antérieures et de réincarnation dans le but d’instaurer un dialogue entre les vivants et les morts. Dans son centre de recherche, le « Théâtre de l’Esprit », de nombreuses personnes se sont prêtées elles aussi à son questionnement, un questionnement que la science avait exclu de son champ d’investigation.
Dieu ?
Polytechnicien et généticien, Albert Jacquard fait grand crédit de la vérité scientifique et il tient pour vrai ce qui résiste à la critique rationnelle.
Mais c’est aussi un homme de conviction et d’engagement ; ses thèses – la solidarité des vivants, le dépassement de l’égoïsme individuel, la responsabilité devant l’avenir, le refus de la compétition, etc. – sont imprégnées des préceptes de la morale évangélique. Son livre sur saint François d’Assise (Calmann-Lévy) et son livre de dialogue avec l’abbé Pierre (Seuil) en témoignent.
Il a décidé ici de faire le point sur sa relation au catholicisme, à Dieu, à la croyance.
Dans une première partie, il prend à bras le corps le Credo de l’Eglise catholique et, mot à mot, il le commente en se demandant : Qu’est-ce qu’un scientifique du XXIe siècle peut retenir de cette prière ? Qu’est-ce qui tient encore ? Dans une seconde partie, il montre qu’on n’a pas besoin de croire à des dogmes et à une Eglise pour adhérer au message du Sermon sur la Montagne, et que ce dernier a conservé toute sa bouleversante fraîcheur si on le débarrasse de la dogmatique qui l’a recouvert.