Xavier-Laurent Petit
Le col des mille larmes
Dès 12 ans – Galshan est inquiète : cela fait plus de six jours que son père, Ryham, aurait dû rentrer. Les journées sont interminables pour la jeune fille et chaque nuit elle fait le même cauchemar : un camion fonce sur elle avant de s’engloutir dans le vide. Tout le monde pense que Ryham a péri lors de la traversée du col des Mille Larmes. Galshan, elle, sait que son père est en vie…
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La naissance du jour
Une femme est arrivée à la maturité, à la sagesse et, croit-elle, au renoncement. C'est une sagesse souriante, un renoncement serein. Avec ses chats et ses livres, elle se retire dans le Midi, près de Saint-Tropez – alors petit village inconnu -. Elle va s'occuper de son jardin, de sa treille, bavarder avec de vieux amis, jouir de sa solitude et de sa liberté. Mais elle a pris pour un crépuscule ce qui était la naissance du jour. Car tout recommence et l'amour, un nouvel amour, intervient.
Pour les plaisirs du Roi
Paris, printemps 1753. Le comte jean du Barry, gentilhomme de province ruiné et sans scrupules, abandonne sa famille pour s'exiler à Paris. Doté d'un talent rare pour le jeu, le libertinage et l'escroquerie, il devient « courtier galant », recrutant de jeunes beautés qu'il loue à ses puissants amis. Une lucrative activité qui l'érige en maître des plaisirs des plus grands noms de la cour de Louis XV… Ses intrigues lui valent de solides ennemis : déjouera-t-il les pièges tendus par Choiseul, ministre du roi, ou Mme de Pompadour, qui ont juré sa perte ? Qui est cet étrange M. de Kallenberg, qui croise perpétuellement son chemin ? Et réussira-t-il à installer dans le lit du roi sa protégée, Jeanne Bécu, jeune prostituée de vingt ans que le comte transforme en élégante et désirable Mme du Barry ?
Pratique de l’équitation d’après les maîtres français
L’équitation de tradition française est le fruit d’une longue histoire débutant dans les académies équestres de la Renaissance. Inspiré par les écuyers italiens ayant créé leurs propres académies, Antoine de Pluvinel fonde la sienne en 1594 ; il est, avec Salomon de La Broue, un précurseur de cette tradition. François Robichon de La Guérinière poursuit cet enseignement au manège des Tuileries. L’équitation de tradition française se construit dans les académies qui enseignent aux jeunes nobles l’art de monter à cheval. L’accent est mis sur l’élégance dans des ballets de chevaux et des jeux équestres outre la seule capacité à chasser ou à se déplacer à cheval. Les manèges de Versailles jouent un rôle tout particulier qui permettent à l’équitation de tradition française de rayonner dans toute l’Europe sous forme de modèles d’architecture notamment là où la langue française s’imposent aux cours européennes.
La nature du Prince
Au XVIe siècle, en Italie comme ailleurs, le mariage des princes est un arrangement destiné à assurer la continuité de la dynastie en même temps qu’à augmenter leur patrimoine. Sur le deuxième point, l’union de Vincent Gonzague, fils du duc de Mantoue, avec Marguerite Farnèse, petite-fille du duc de Parme, satisfait tout le monde. Par contre, sur le premier, le bruit ne tarde pas à courir qu’il n’y aura pas d’héritier, le mariage n’ayant pas été consommé. A qui la faute? A la princesse, dit-on à Mantoue. Au prince, rétorque Parme. Soucieux de s’assurer une descendance, le duc de Mantoue recourt à la seule solution possible en 1582 : obtenir du pape l’annulation du mariage pour que Vincent épouse Eléonore de Médicis.