Arthur Hailey
Le destin d’une femme
A travers le destin d’une femme, Célia, et les espoirs provoqués par un nouveau médicament, c’est l’univers de la santé publique qui est ici mis en cause et si laboratoires et hôpitaux sont américains, les situations sont universelles et les problèmes ceux de chacun.
Célia est séduisante et ambitieuse, elle lutte pour s’imposer dans les milieux fermés de la recherche médicale. Résolue à faire carrière dans un monde d’hommes, elle ne l’est cependant pas à tout prix. Son métier la passionne, mais elle n’hésite pas à dénoncer magouilles et corruptions au sein de la société pharmaceutique qui l’emploie. Elle veut tout, même le bonheur et, là aussi, elle va réussir.
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Par un chaud dimanche d’été, près du bassin du port de l’Arsenal, sur le boulevard Bourdon, à Paris, deux promeneurs, Bouvard et Pécuchet, se rencontrent par hasard sur un banc public et font connaissance. Ils s’aperçoivent qu’ils ont eu tous deux l’idée d’écrire leur nom dans leur chapeau : « Alors ils se considérèrent. ». Tombés sous le charme l’un de l’autre, Bouvard et Pécuchet découvrent que non seulement ils exercent le même métier de copiste, mais qu’en plus ils ont les mêmes centres d’intérêts. S’ils le pouvaient, ils aimeraient vivre à la campagne.