- Home
- >
- Policier/Thriller
- >
- Le fantôme de Lady Margaret
Mary Higgins Clark
Le fantôme de Lady Margaret
Quel rapport peut-il y avoir entre les attentats qui ensanglantent Londres, visant la famille royale, et les recherches d’une jeune historienne sur la terrible Lady Margaret, décapitée au XVIIe siècle ? La vengeance, peut-être. Ou l’hypnose ? Le surnaturel, pour deux jumelles aux prises avec un psychopathe ; la passion meurtrière d’un jeune homme pour son ancien professeur ; amour, mort et loterie pour les deux amis de jour de chance : l’auteur de La Nuit du renard, grand prix de littérature policière, explore ici en cinq récits toute la gamme du suspense et de la terreur.
Vous aimerez aussi
Adieu mon ange
Le corps d'une fillette est retrouvé sur le chemin de l'école. Pas d'indice, peu de suspects, et pourtant quelqu'un s'acharne sur Kate, cette mère meurtrie dans sa chair. Quelqu'un lui envoie de mystérieux messages informatiques. Quelqu'un achète des jouets pour une enfant disparue. L'inspecteur Harmon s'interroge : est-ce réellement du harcèlement ou les délires d'une mère en état de choc ? Dans un monde où l'ordinateur est roi, chaque visage peut se révéler être celui du coupable.
Le condamné meurt à cinq heure
Défenseur des causes difficiles, certes, mais justes. Toujours justes. Quand maître Lejanvier sauve une tête, c’est une tête d’innocent. Maître Lejanvier a des principes. Et une réputation sans tache. Jamais il ne plaiderait pour un client qu’il jugerait coupable. C’est donc en toute bonne foi qu’il a mis son éloquence, son énergie, son prestige au service de Lazare. Et c’est en toute bonne foi qu’il a fait acquitter un meurtrier. Un meurtrier qui soudain menace de céder à un accès de remords et d’aller confesser son crime. A moins que maître Lejanvier ne consente à quelque petit sacrifice financier… Quelle ingratitude !
Combustion
Un tueur machiavélique, qui se sert du feu pour couvrir la trace de ses crimes : aux yeux de Kay Scarpetta, cela pourrait n’être qu’une enquête de plus. Mais elle acquiert la conviction que son ennemie mortelle, Carrie Grethen, évadée de sa prison new-yorkaise, est mêlée à ces meurtres. Lorsque Carrie prend pour cible sa nièce, Lucy, l’enquête revêt une dimension personnelle, et la tragédie la rattrape… Avec ce dixième roman, vendu à plus d’un million d’exemplaires aux États-Unis, Patricia Cornwell offre à ses innombrables « fans » un nouveau chef-d’œuvre, aussi fort que PostMortem ou Une mort sans nom. Un suspense où Kay Scarpetta, tour à tour forte et fragile, désemparée et implacable, se révèle plus attachante que jamais.
J’ai regardé le diable en face
Ciudad Juarez, un million trois cent mille habitants. Ville frontière entre Mexique et Etats-Unis. Cité sans âme livrée au crime, à la drogue et à la violence des mafias. Sandra Khan, journaliste au San Francisco Chronicle, se retrouve confrontée à un monde où la peur et l'indifférence servent de terreau a l'inhumanité. Conviction et courage seront ses armes pour tenter de comprendre pourquoi des crimes abominables sont perpétrés contre des centaines de jeunes femmes sans que, depuis plus de dix ans, les autorités aient réussi à identifier les assassins ou leurs commanditaires. Mais Sandra n'en sortira pas indemne. Car personne ne peut regarder le Diable en face sans se brûler. Avec cette nouvelle enquête de Sandra Khan, Maud Tabachnik, après Douze heures pour mourir, nous entraîne une fois encore dans la terrifiante actualité du monde. L'énigme de Ciudad Juarez fascine autant qu'elle révolte pour une raison aussi aberrante que simple : les femmes y meurent parce que nées femmes.