Didier Janicot, Gilbert Pouillart
Le Judo
Inventé au Japon à la fin du XIXe siècle par maître Jigoro Kano, le judo est devenu un sport universel qui réunit aujourd’hui plus de 15 millions de pratiquants. Cet ouvrage propose une découverte et un apprentissage de ce sport passionnant, depuis tes premiers pas de judoka sur le tatami jusqu’à l’obtention de la ceinture noire. Tu y apprendras toute la technique individuelle ainsi que toutes les stratégies de combat, qu’il se déroule debout – nage waza – ou au sol – ne waza – et tu découvriras que pratiquer le judo c’est aussi entrer dans une école de la vie où sont enseignés la maîtrise de soi, le respect des valeurs et celui de ses adversaires. Enfin, tu feras connaissance avec les plus grands judokas, ceux qui ont marqué l’histoire de ce sport en France et à l’étranger.
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Les gueux du stade (vie et mort du sport belge)
La Belgique est un pays d’images, de signes et de symboles, où toutes les vérités sont prises nécessairement pour les lanternes. Heureusement, d’ailleurs : cette éprise quotidienne est la condition de son existence. Les belges sont contraints de s’imaginer tels qu’ils ne sont pas : comme des gens « à qui on ne la fait pas », par exemple. Des sceptiques, des finauds, des grands pragmatiques. Alors qu’ils sont ballottés par les évènements et gouvernés par les émotions. Au point que leur mythologie elle-même est sujette à d’infinies variations. Comme pour toutes les nations au XXème siècle, le sport a été en Belgique un puissant constituant mythologique. Mais en vain, le réel, ici, n’a jamais rejoint le fantasme. Au contraire, il s’en est éloigné. Le mythe sportif belge a vécu sa propre vie, à l’écart des réalités nationales. Ce mythe rappelle ces tableaux d’Ensor où tant de personnages s’avancent masqués : la Belgique de 1830 est morte, mais elle continue à grimacer sous le masque des Diables rouges et de quelques champions, de moins en moins nombreux ….
Tout seul
Début décembre, l’AFP s’est procuré des communiqués annonçant le livre « Tout seul » de Raymond Domenech : « Chaque chapitre porte les traces de son long combat de sélectionneur avec Zinedine Zidane, Nicolas Anelka, Thierry Henry ou les plus jeunes joueurs d’une génération perdue » et fait état des « heures heureuses de la Coupe du monde 2006 » (finale perdue contre l’Italie aux tirs au but) et les moments où « on sent monter les difficultés et le malaise, dont Raymond Domenech ne se détourne pas ». A 60 ans, Raymond Domenech a signé un livre sans « surprises, révélations, regrets », donc rien de très croustillant, mais un « témoignage sincère, sans langue de bois ni volonté de minimiser ses propres erreurs ». Une sorte de mea-culpa alors ? Après la défaite face à l’Afrique du Sud lors de la coupe du monde 2010, Raymond Domenech a quitté ses fonctions de sélectionneur, son contrat se terminant le 31 juillet 2010. C’est Laurent Blanc qui lui a succédé, puis, le 8 juillet 2012, Didier Deschamps a été nommé sélectionneur de l’équipe de France.
Pratique de l’équitation d’après les maîtres français
L’équitation de tradition française est le fruit d’une longue histoire débutant dans les académies équestres de la Renaissance. Inspiré par les écuyers italiens ayant créé leurs propres académies, Antoine de Pluvinel fonde la sienne en 1594 ; il est, avec Salomon de La Broue, un précurseur de cette tradition. François Robichon de La Guérinière poursuit cet enseignement au manège des Tuileries. L’équitation de tradition française se construit dans les académies qui enseignent aux jeunes nobles l’art de monter à cheval. L’accent est mis sur l’élégance dans des ballets de chevaux et des jeux équestres outre la seule capacité à chasser ou à se déplacer à cheval. Les manèges de Versailles jouent un rôle tout particulier qui permettent à l’équitation de tradition française de rayonner dans toute l’Europe sous forme de modèles d’architecture notamment là où la langue française s’imposent aux cours européennes.
Ma mauvaise réputation
« Je suis un président énervant. C’est inscrit dans mon caractère. Et ça me plaît. » Mourad Boudjellal, l’emblématique président du Rugby Club Toulonnais, est réputé pour ses coups de gueule qui secouent régulièrement le monde de l’Ovalie. Pour la première fois, ce fils d’immigrés algériens déroule le fil de sa vie trépidante. Il raconte ses racines, ses succès en BD, et pose son regard acéré sur le monde du sport et sur l’ensemble de la société. L’histoire d’un homme, rapportée avec humour, sincérité et franc-parler.

