- Home
- >
- Psychologie
- >
- Le moi et le ça
Sigmund Freud
Le moi et le ça
Avec ce texte capital, Freud crée en 1923 une nouvelle géographie du psychisme qui permet de penser le monde moderne. S’appuyant sur Le livre du ça que Georg Groddeck vient de faire paraître, il y définit les trois instances qui vont révolutionner la théorie psychanalytique : le moi, le ça et le surmoi. Mais c’est aussi dans cet ouvrage qu’il teste la validité de l’hypothèse de la pulsion de mort élaborée trois ans plus tôt, qu’il revient sur le concept de bisexualité, qu’il expose une forme complète du complex d’OEdipe, et qu’il aborde le thème de l’idéal, si important pour comprendre la vie psychique des adolescents et, plus généralement, le moteur de notre existence.
Vous aimerez aussi
Heurs et malheurs du sous majordome minor
Mal-aimé, méprisé, mais bien décidé à forcer son destin, le jeune et délicat Lucien Minor, dit Lucy, quitte sans regret sa bourgade natale pour aller prendre l’improbable poste de sous-majordome au château von Aux, lugubre forteresse sise au coeur d’un massif alpin. Avec pour tout bagage son costume râpé et une pipe nouvellement acquise dont il ne sait se servir sans provoquer l’hilarité générale, le voilà qui fait son entrée au château sous la houlette de l’énigmatique M. Olderglough. Très peu sollicité, Lucy a tout le loisir de découvrir que ces lieux inquiétants, en apparence inhabités, recèlent les plus noirs secrets, et de faire la connaissance d’une population locale haute en couleur : voleurs invétérés, fous à lier, aristocrates dépravés, mais surtout Klara, dont il tombe éperdument amoureux, se plaçant ainsi en périlleuse concurrence avec le bel Adolphus…
Les indésirables
Un cabaret dans un camp au milieu des Pyrénées, au début de la Seconde Guerre mondiale. Deux amies, l’une aryenne, l’autre juive, qui chantent l’amour et la liberté en allemand, en yiddish, en français … cela semble inventé ! C’est pourtant bien réel. Eva et Lise font partie des milliers de femmes « indésirables » internées par l’État français. Leur pacte secret les lie à Suzanne « la goulue », Ernesto l’Espagnol ou encore au commandant Davergne. À Gurs, l’ombre de la guerre plane au-dessus des montagnes, le temps est compté. Il faut aimer, chanter, danser plus fort, pour rire au nez de la barbarie. À la façon d’une comédie dramatique, Diane Ducret met en scène le miracle de l’amour, la résistance de l’espoir dans une fable terrible et gaie, inspirée d’histoires vraies.
Le tailleur de pierre
Un pêcheur de Fjällbacka trouve une petite fille noyée. Bientôt, on constate que Sara, sept ans, a de l’eau douce savonneuse dans les poumons. Quelqu’un l’a donc tuée avant de la jeter à la mer. Mais qui peut vouloir du mal à une petite fille ? Alors qu’Erica vient de mettre leur bébé au monde et qu’il est bouleversé d’être papa, Patrik Hedström mène l’enquête sur cette horrible affaire. Car sous les apparences tranquilles, Fjällbacka dissimule de sordides relations humaines – querelles de voisinage, conflits familiaux, pratiques pédophiles – dont les origines peuvent remonter jusqu’aux années 1920. Quant aux coupables, ils pourraient même avoir quitté la ville depuis longtemps. Mais lui vouer une haine éternelle.
Les infâmes
Freedom Oliver, alcoolique et suicidaire, a passé dix-huit ans à se cacher dans une petite ville de l’Oregon, sous protection du FBI. Hantée par son passé douloureux et la mort brutale de son mari, elle souffre d’avoir abandonné ses deux enfants pour échapper à la vengeance de son beau-frère. En apprenant la disparition de sa fille Rebekah, élevée par un pasteur aux croyances radicales, elle part avec l’énergie du désespoir pour le Kentucky. Après tant d’années à se cacher, quitter l’anonymat c’est laisser à son bourreau l’occasion de la retrouver. Et de se venger. Entre les paumés magnifiques, les flics indélicats, les dégénérés de sa belle-famille et de dangereux fanatiques religieux, son périple tourne à l’odyssée. Freedom Oliver, aussi écorchée et attachante que Lisbeth Salander, l’héroïne de Millénium, n’a pas fini de vous émouvoir.

