Louis Sachar
Le passage
Stanley Yelnats est poursuivi par la malchance. Tout comme ses père, grand-père et arrière-grand-père. Et ce, à cause d’une malédiction qui a frappé ce dernier. C’est donc avec le sentiment d’être poursuivi par la fatalité que Stanley accepte le coup du sort qui le condamne, pour un acte qu’il n’a pas commis, à passer 18 mois au Texas dans le camp du Lac vert. Celui-ci, malgré son joli nom, n’a rien d’un lieu de villégiature. D’abord, le lac a laissé la place à un désert aride. Ensuite, les « pensionnaires », tous jeunes délinquants, sont condamnés à creuser chaque jour un énorme trou dans cette terre desséchée. Cette punition stupide cache un dessein poursuivi par le terrible « directeur » du camp. Un superbe roman d’amitié sur fond de légende. Deux histoires nous sont racontées parallèlement, celle de Stanley et une autre, qui s’est déroulée un siècle plus tôt…