Florence Pipet, Gaëlle Lor
Le prénom de votre enfant
Le choix du prénom de votre enfant est un des actes les plus importants de votre vie de parents. D’Achille à Zoreen, vous pouvez choisir parmi plus de 1500 prénoms celui qui vous plaira. D’où viennent tous ces prénoms, que signifient-ils, quels personnages célèbres les portent ou les ont portés ? Telles des fées qui se penchent sur le berceau des nouveaux-nés, les auteurs vous livrent les éléments d’un héritage fabuleux.
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Le roman de la Perestroïka – A la cour des tsars rouges
Etat quasi-neuf – « Il fut l’un des premiers à rompre avec les habitudes de la caste diplomatique pour s’engager dans la démarche de la perestroïka. Depuis 1985, on se souvient de son visage à la télévision associé au vent de changement. Quand Gorbatchev fit marche arrière, Fédorovski n’hésita pas à quitter la « carrière ». Je l’ai vu à l’oeuvre, lorsqu’il fut porte-parole du mouvement des réformes démocratiques dans les jours fatidiques de la résistance au putsch communiste de Moscou en août 1991 ». C’est ainsi qu’Alexandre Yakovlev, idéologue de la perestroïka, présentait Vladimir Fédorovski dans Le Figaro en avril 1996. Vladimir Fédorovski a consigné au fil du temps les témoignages uniques des protagonistes de cette époque. Gorbatchev, son épouse Raïssa, Jean-Paul II, Jacques Chirac ou encore Vladimir Poutine se succèdent devant le lecteur qui entre dans leur intimité. L’auteur a non seulement recueilli de nombreuses confidences mais il a mené pendant des années une minutieuse enquête, bousculant les idées reçues, mettant en lumière les années cruciales d’une des plus grandes ruptures de l’Histoire. Ce changement historique aurait pu, comme d’autres révolutions récentes, se terminer bien autrement, dans la guerre civile ou dans une Apocalypse mondiale. Mais la sortie du communisme fut assurée « en douceur » : la perestroïka mettait ainsi tout le monde devant le fait accompli. Et ce faisant, par petites touches, elle put faire jaillir, au coeur du communisme… la liberté !
Papon, un intrus dans la République
Maurice Papon, secrétaire général de la préfecture de la Gironde de 1942 à 1944, est le seul haut fonctionnaire de Vichy poursuivi devant une cour d’assise pour crimes contre l’humanité. Dans son ouvrage, Maurice Papon, un technocrate français dans la collaboration, Gérard Boulanger avait décrit le rôle de Papon dans la déportation des familles juives de Bordeaux. Dans Papon, un intrus dans la République, l’auteur raconte la reconversion instantanée d’un homme de Vichy en bras droit du commissaire de la République nommé par de Gaulle, puis son blanchiment. Il révèle comment, grâce à ses réseaux dans l’appareil d’État, à des certificats de complaisance, à des faux administratifs et au soutien gaulliste, par un véritable tour de passe-passe, Maurice Papon est baptisé « résistant ». Papon peut alors poursuivre une belle carrière sous la IVe et Ve République. Préfet de police de Paris pendant la guerre d’Algérie, il finit ministre de Giscard d’Estaing.
Maître Hiram et le roi Salomon
Quand Salomon, fils de David, est appelé à régner, Israël est déchiré par des conflits internes. En quelques années, ce prince du désert unifie Israël et, investi d’une mission divine, s’attelle à la réalisation d’un de ses rêves les plus fous : la construction d’un temple sur le rocher de Jérusalem.
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Un roman où l’historien Christian Jacq relate la rencontre de deux civilisations légendaires, celle de l’Égypte et d’Israël, et les mystères d’une confrérie de bâtisseurs que les constructeurs de cathédrales considèrent comme leurs maîtres.
Un antisémitisme ordinaire
Un siècle et demi après l'émancipation des Juifs par la Révolution française, le régime de Vichy promulguait une législation qui faisait d'eux des parias dans leur patrie. En présence de ce droit antisémite, il importe de savoir ce que fut l'attitude de l'administration, des juridictions et des milieux professionnels concernés. S'agissant du Barreau, ce livre, fruit de recherches dans les archives professionnelles et judiciaires, retrace comment, au-delà des réactions individuelles, l'émergence d'un antisémitisme érigé en règle ordinaire de la société française ne suscita ni refus de principe, ni rejet massif, ni protestation collective.