Marie-Hélène de Bousquet
Le service social
Ancienne adjointe aux affaires sociales, vice-présidente du comité de la Croix-Rouge de Saumur, impliquée dans différentes actions sociales, Marie-Hélène de Bousquet est décédée lundi 22 mars à l’âge de 101 ans.
Vous aimerez aussi
Les maîtres du troisième Reich
Ce livre de 452 pages pages est dans un état très moyen. Il a été imprimé en 1965. « Le chroniqueur de cette époque reste perplexe devant le problème qui se pose à lui, de montrer comment tant d’incapacité, de médiocrité et d’absence de caractère a pu provoquer de telles répercussions. Point de grandeur. On ne rencontre, au contraire, que « petites » faiblesses, égoïsmes, prétentions, impulsions dans des caractères aussi parfaitement insignifiants que dépourvus de tout scrupule. Dans le cas tout au moins des dirigeants nationaux-socialistes, l’analyse de la structure psychologique d’un régime totalitaire ne relève pas, comme on l’a souvent cru, de la démonologie et de ses concepts imprécis, mais elle se ramène plutôt à la description des faillites concrètes et individuelles. D’Hitler à Heydrich, de Goebbels à Rosenberg, nous avons affaire à des individus constamment dominés par leurs passions ou leurs instincts, se hissant ainsi au pouvoir ou se laissant entraîner par un mouvement qui les y pousse.
La montagne est jeune
Depuis six ans qu'elle est mariée à John Ford, Anne voit passer les jours dans la même atmosphère irritante qui paralyse ses élans et jusqu'à son talent d'écrivain. Secouer ce joug devient une nécessité impérieuse. Quand paraît l'annonce demandant un professeur d'anglais pour l'Institut féminin de Khatmandou, elle sollicite le poste et l'obtient. John refuse de la laisser partir seule. Les Ford quitteront ensemble Calcutta pour le Népal, terre des dieux. A Khatmandou, Anne recommence à écrire, à vivre – aidée avec tact et humour par les membres de la colonie britannique et leurs amis népalais. Deux conceptions de vie s'affrontent au pied de Mana Mani, la montagne jeune, dans le cadre fascinant d'un pays aux traditions millénaires.
Servitude et Grandeur militaires
Servitude et grandeur militaires est à la fois un roman et une réflexion autobiographique sur le métier militaire, que Vigny a exercé jusqu'à trente ans. La fiction s'incarne dans trois nouvelles, où les aventures, la tension, le pathétique mènent à la philosophie : « Une fable qu'il faut inventer assez passionnée, assez émouvante pour servir de démonstration à l'idée », écrit Vigny, qui apparaît, dans ces trois histoires de passion et d'émotion, tour à tour comme un aristocrate, un soldat, un poète, un styliste, un penseur.
Les Maîtres
Afin de préparer sa thèse de médecine en même temps que celle de doctorat ès sciences, Laurent Pasquier, qui travaille dans le laboratoire du professeur Chalgrin, sollicite un poste de préparateur auprès d'une autre sommité de la biologie : le professeur Rohner. Le premier citant avec éloge les travaux du second, le choix de ces maîtres semble parfait. Laurent ne tardé pas à s'apercevoir qu'il s'est montré naïf la courtoisie des propos dissimulait une âpre rivalité que l'intervention démoniaque d'un camarade de Laurent fait éclaterr au grand jour. Rohner use des pires armes sans le moindre scrupule pour s'assurer la préséance.