- Home
- >
- Grand format
- >
- Le siècle du corps – 100 photographies 1900-2000
William A. Ewing, Daniel Girardin
Le siècle du corps – 100 photographies 1900-2000
Tout au long du XXe siècle, la photographie a exploré le corps humain. Ainsi a-t-elle permis de le voir de l’intérieur comme de l’extérieur, de modifier notre regard, d’en capturer la beauté, le mystère, la force, la douleur, parfois l’horreur. Photos d’art, imagerie scientifique, médicale, photo journalisme, photos de mode… Cet ouvrage réunit 100 photos, parmi lesquelles des chefs-d’œuvre signés Man Ray, Richard Avedon, Edward Weston ou encore Lennart Nilsson, qui proposent toutes un point de vue différent et éclairant sur le corps. Sociologues, philosophes, anthropologues proposent en marge des photos des réflexions construites et stimulantes pour continuer à penser, au-delà du XXe siècle, le rapport entre le corps et la photographie.
Vous aimerez aussi
Simple vengeance
L'histoire très mouvementée de trois jeunes femmes trahies par leurs maris, profondément blessées mais bien déterminées à avoir le dernier mot. Lorsque le soir de leur premier anniversaire de mariage, Reid, play-boy aussi séduisant que désinvolte, lui avoue ses incartades, Angela tombe de haut. Partie se réfugier dans la paisible banlieue new-yorkaise où vivent ses parents, elle met son talent d'avocat au service d'une association dédiée à la cause des femmes. Là, elle rencontre Jada, une jeune mère afro-américaine acculée au désespoir par les manigances de Clinton, mari infidèle et chômeur professionnel, et son amie Michelle, qui vient de découvrir que son bonheur conjugal et familial reposait sur un odieux mensonge. Auprès d'elles, Angela trouve des âmes sœurs avec qui partager sa douleur, sa révolte, et l'espoir, peut-être, d'un nouveau départ. Mais comment passer outre au ressentiment quand, dans le clan des maris, on multiplie sans vergogne coups bas et marchés de dupes ? Puisqu'il faut bien se défendre, les trois jeunes femmes, solidaires pour le meilleur et pour le pire, imaginent, entre rires et larmes, une vengeance sur mesure pour chacun des traîtres…
Café noisette
Jordan Greene, jeune informaticien noir américain, quitte son sud natal pour rejoindre un géant du secteur à New York. Vite perdu dans les méandres de Manhattan, il commence à s’éloigner de sa petite amie J’nette. Surgit dans sa vie Kimberly, une jeune artiste peintre aux flamboyants cheveux rouges. Pour Jordan, qui affiche dans son bureau un portrait de Malcom X, être amoureux de Kimberly n’est pas simple : elle est blanche. En plus elle traîne un passé qu’elle voudrait garder secret… La famille et les amis de Jordan crient au scandale pendant qu’un long malentendu s’installe. Eric Jerome Dickey dépeint formidablement l’empire de la hâblerie et de la tchatche dans l’Amérique d’aujourd’hui. Café Noisette est un roman savoureux et provoquant ; l’histoire d’un amour difficile sur fond de construction d’une société multiculturelle. » Une comédie subtile et drôle sur la complexité américaine » USA Today.
Un jour, ils auront des peintres
« Vous comprendrez, quand vous verrez l’Amérique, qu’un jour ils auront des peintres, parce que ce n’est pas possible, dans un pays pareil, qui offre des spectacles visuels aussi éblouissants, qu’il n’y ait pas de peintres un jour ». La prophétie date de 1933. Comme tous les autres Européens de retour des Etats-Unis, Matisse se dit envoûté Il annonce l’avènement d’une nouvelle ère, celle des peintres américains. Tout commence à Paris, le 1er juilet 1867, dans les fastes de l’Exposition Universelle : après la guerre de Sécession, les paysagistes d’outre-Atlantique, qui forment la première véritable école de leur pays, retrouvent, optimistes, le chemin de l’Europe. Mais les critiques français leur réservent ricanements et sarcasmes : « Cette exposition est indigne des fils de Washington. Au milieu de nos vieilles civilisations, les Américains font l’effet d’un géant fourvoyé dans une salle de bal. » … L’épopée des peintres américains racontée par Annie Cohen-Solal nous transporte de Paris à New-York, de Giverny à Chicago, de Pont-Aven à Taos, au Nouveau-Mexique, et s’achève à la Biennale de Venise, en 1948, lorsque sont présentées, pour la première fois en Europe, huit toiles de Jackson Pollok, un artiste inconnu des Européens de l’époque, mais bientôt célébré dans le monde entier comme le premier véritable maître américain.
Vers chez les blancs
Dans le petit milieu littéraire, seules deux ou trois choses comptent vraiment : les pages que l'on noircit, les femmes que l'on séduit, l'argent que l'on amasse. Le tout en évitant les pannes. Francis a eu tout cela, du temps où il était un auteur à succès. Mais la roue a tourné, la gloire a déserté et, en attendant une improbable réédition, il ne lui reste plus guère que les femmes, la sienne mais surtout celles des autres. Il s'y jette donc à corps perdu, abuse du sexe en général et de celui de Nicole, la femme de son meilleur ami, en particulier.