- Home
- >
- Fantastique
- >
- Le troisième vœu
Janette Rallison
Le troisième vœu
Savannah, jeune adolescente de 16 ans, profite de la vie avec légèreté. Mais voilà que son petit-ami, Hunter, se rapproche de sa soeur aînée, la très brillante Jane, et tombe amoureux d’elle. Savannah, trahie, se retrouve sans cavalier pour le bal de fin d’année. Elle reçoit alors l’aide d’une « Marraine-Fée toujours à l’écoute des jeunes en peine. Catastrophe, c’est une fée débutante, affreusement inexpérimentée. C’est là que les ennuis commencent. Son premier voeu envoie Savannah dans la peau de Cendrillon. Son deuxième, dans celle de Blanche-Neige. Son troisième voeu lui accordera-t-il le prince charmant ? Une comédie romantique, une aventure déjantée. Un réel conte de fées moderne !
Vous aimerez aussi
Le rire du Cyclope
Darius, humoriste célèbre et coqueluche du Tout-Paris, s’effondre dans sa loge à l’issue d’une représentation à l’Olympia. Quelques minutes avant sa mort, le pompier de garde l’a pourtant entendu éclater de rire… La journaliste Lucrèce Nemrod est sûre qu’il ne s’agit pas d’une mort naturelle. Quant à son complice, Isidore Katzenberg, qui vit toujours dans son château d’eau, il est persuadé qu’il faut remonter aux origines du rire pour mener à bien cette enquête… Où l’on retrouve Lucrèce Nemrod et Isidore Katzenberg, déjà croisés dans Le Père de nos pères et L’Ultime Secret. Après le chaînon manquant et le cerveau, l’étrange phénomène du rire est au centre de leur nouvelle enquête.
La légion de la colombe noire – Tome I
Kennedy, dévastée par la mort de sa mère, apprend que ce drame est lié à des forces surnaturelles. Deux frères jumeaux, Jared et Lukas, qui la sauvent d’un dangereux esprit envoyé pour la tuer, lui révèlent qu’elle devra prendre la place de sa mère au sein de la Légion, une société secrète de chasseurs de fantômes dont les cinq membres ont été assassinés et dont les enfants sont les héritiers.
L’Eve future
L’Ève Future (1886) est au roman ce que les « Poésies » de Mallarmé sont à la poésie : le chef-d’oeuvre de l’époque symboliste, l’anti-Zola, l’anti-Goncourt.
Villiers est le plus grand conteur fantastique français. La donnée est fantastique, ou de science-fiction, puisqu’il s’agit de créer une femme artificielle, qui évite les inconvénients des femmes réelles. Ce livre traite de l’amour impossible, pour une femme qui n’existe pas. C’est aussi un roman de la révolte, qui se termine sur le frisson du créateur de l’automate. Edison, face au silence glacé, à « l’inconcevable mystère » des cieux ; un roman proche du mythe de Faust autant que de Jules Verne, par l’anticipation scientifique ; un ouvrage philosophique parce qu’il médite sur l’être et le paraître. Le style est brillant, somptueux, insolite et ironique, comme Mallarmé l’a relevé : il mène « l’ironie jusqu’à une page cime, où l’esprit chancelle. »
Savez-vous ce que c’est qu’une « chèvre blanche » ? Eh bien, en jargon vaudou, c’est un doux euphémisme pour désigner la victime d’un sacrifice humain. Et quand ces types sont venus me demander de relever un mort de deux cents ans et des poussières, j’ai tout de suite compris ce que ça impliquait. Je veux bien égorger des poulets, un mouton, voire un buffle dans les cas désespérés… mais ça, non ! Pas question… Mais je les ai envoyés promener, eux et leur chèque d’un million de dollars. L’ennui, c’est que tout le monde n’a pas mon sens moral. Que ces salauds vont bien dégoter quelqu’un pour faire le boulot. Qu’on va se retrouver avec un mort-vivant raide dingue, tout sauf végétarien, et semant la panique. Et que c’est encore la petite Anita qui va devoir se le coltiner ! Comme si je n’avais pas déjà assez de problèmes avec les vampires…