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Caitlin Thomas
Leftover life to kill
En anglais – One of the most daring and uninhibited confessions ever written – a candid self-searching story by the widow of the poet Dylan Thomas
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Robespierre
Comment peut-on aimer Robespierre ? Comment peut-on s’attacher à un homme dont le nom même évoque la Grande Terreur de 1793 ? Si l’opinion courante garde de ce personnage l’image d’un dictateur “juste capable de verser le sang du peuple”, derrière ce masque existe un Robespierre dont le portrait mérite d’être tracé.
Aucun révolutionnaire de 1791 à 1794 n’a eu une popularité aussi continue, aussi profonde, aussi convaincue. Robespierre rêvait d’installer une société fraternelle et il apparaissait, aux heures où tout semblait perdu, comme le visage de l’espérance.
D’“incorruptible”, Robespierre fut transformé par la propagande thermidorienne en dictateur sanguinaire. Monstre ou martyr, il est une figure de la Révolution que Jean Massin, avec toute la rigueur d’un historien, nous permet de reconnaître.
« J’ai à raconter l’histoire du héros d’une épopée ; je n’ai pas oublié pour autant que, nécessaires ou accidentelles, les insuffisances et les erreurs de ce héros ont contribué à faire aussi de son histoire un drame. »
Jean Massin
Une vie
À dix-sept ans, radieuse, prête à toutes les joies, à tous les hasards, Jeanne quitte enfin le couvent. Dans le désœuvrement des jours et la solitude des espérances, de toutes ses rênes, le plus impatient est celui de l’amour… Oh ! Elle en sait des choses sur le frémissement des cœurs, l’élan des âmes. Elle les a si souvent pressentis, espérés, ces bonheurs-là. Aussi, lorsqu’il paraît, le reconnaît-elle sans peine. L’être créé pour elle… Julien ! Le même écho s’éveille en leurs cœurs…Le mariage scellera leur amour. Mais que suit-elle, lorsque le voile se déchire, des grandes étreintes, des secrets d’alcôves, des désirs d’hommes ? Que sait-elle de l’amour sinon sa poésie ? Alors ils se regardent… Les illusions, à peine écloses, déjà se fanent et bientôt ne sont plus. C’est une vie qui se déroule…
Le livre du Bonheur
Le livre du Bonheur rassemble en fait deux écrits de Marcelle Auclair, publiés en 1938 et et en 1951 : Le Bonheur est en vous et La pratique du Bonheur. Le second est, à la demande des lecteurs et surtout des lectrices du premier, une suite du précédent. M. Auclair les réunit en 1959. Il s’agit, sous la forme de chapitres extrêmement brefs (une page, une page et demie, deux pages…), de conseils très pratiques, avec de nombreux exemples à l’appui, pour accéder au bonheur. Car M. Auclair prétend que le bonheur relève d’une « science », et que faute de cette science, beaucoup de gens sont inutilement malheureux. En fait, en lisant, on s’en rend compte rapidement : le livre est un des premiers – et des meilleurs – exemples de « pensée positive ». L’idée de base est que la pensée crée, la parole crée. Elles « forment des vibrations toutes puissantes ». Penser joie, amour, paix…, cela donne la joie, l’amour, la paix. Penser que personne ne vous aime est la meilleure façon d’arriver à ce sort malheureux. Si on voulait être méchant, on dirait que Marcelle Auclair, c’est du Dr Coué. C’est en partie vrai. Mais sa culture, sa vivacité, son intelligence vont bien plus profond que les aphorismes superficiels et grossiers de Coué. Ou encore, son côté Coué est transcendé par sa finesse, et ses exemples pris dans la vie courante. Au total, on aime ou on n’aime pas, mais le livre a gardé une incroyable jeunesse : il aurait pu avoir été écrit dans les années 90. Un livre sur le bonheur basé sur la pensée positive, avec des conseils pratiques et de nombreux exemples pour y parvenir. C’est la bible du bonheur !
The Golden Egg
En Anglais – In The Golden Egg, as the first leaves of autumn begin to fall, Vice Questore Patta asks Brunetti to look into a minor shop-keeping violation committed by the mayor's future daughter-in-law. Brunetti has no interest in helping his boss amass political favors, but he has little choice but to comply. Then Brunetti's wife, Paola, comes to him with a request of her own. The mentally handicapped man who worked at their dry cleaner has just died of a sleeping pill overdose, and Paola loathes the idea that he lived and died without anyone noticing him, or helping him.Brunetti begins to investigate the death and is surprised when he finds nothing on the man: no birth certificate, no passport, no driver's license, no credit cards. As far as the Italian government is concerned, he never existed. Stranger still, the dead man's mother refuses to speak to the police, and assures Brunetti that her son's identification papers were stolen in a burglary.