- Home
- >
- Langue étrangère
- >
- Leftover life to kill
Caitlin Thomas
Leftover life to kill
En anglais – One of the most daring and uninhibited confessions ever written – a candid self-searching story by the widow of the poet Dylan Thomas
Vous aimerez aussi
Robespierre
Comment peut-on aimer Robespierre ? Comment peut-on s’attacher à un homme dont le nom même évoque la Grande Terreur de 1793 ? Si l’opinion courante garde de ce personnage l’image d’un dictateur “juste capable de verser le sang du peuple”, derrière ce masque existe un Robespierre dont le portrait mérite d’être tracé.
Aucun révolutionnaire de 1791 à 1794 n’a eu une popularité aussi continue, aussi profonde, aussi convaincue. Robespierre rêvait d’installer une société fraternelle et il apparaissait, aux heures où tout semblait perdu, comme le visage de l’espérance.
D’“incorruptible”, Robespierre fut transformé par la propagande thermidorienne en dictateur sanguinaire. Monstre ou martyr, il est une figure de la Révolution que Jean Massin, avec toute la rigueur d’un historien, nous permet de reconnaître.
« J’ai à raconter l’histoire du héros d’une épopée ; je n’ai pas oublié pour autant que, nécessaires ou accidentelles, les insuffisances et les erreurs de ce héros ont contribué à faire aussi de son histoire un drame. »
Jean Massin
Le sortilège malais
Le Sortilège malais est un recueil de six nouvelles de William Somerset Maugham publié en 1926. « Faut-il laisser les bouquins de Somerset Maugham dans les bibliothèques de nos grand-mères entre Daphné Du Maurier et Agatha Christie ? Témoins de la défense : Graham Greene, tôt persuadé de son génie, Virginia Woolf et Cyril Connolly qui s'étonnait de l'accueil sévère de la critique compte tenu du plaisir sans mélange qu'on prend à le lire. Osons goûter les histoires surannées de ce disciple affiché de Maupassant et de Jules Renard, de ce conteur caustique qui avouait n'avoir jamais été patient à l'égard des écrivains qui exigent un effort pour percer leurs intentions. »
L’équipage
Un équipage d'aviateurs pendant la Première Guerre mondiale, c'est un pilote, chargé de manoeuvrer l'avion, et un observateur, qui examine le terrain. Et l'un des meilleurs équipages de l'escadrille de Jonchery est celui de Jean Herbillon et de Claude Maury. Le jeune Herbillon rêvait d'exploits à son arrivée au front ; quelques mois ont suffi à le désenchanter. Claude, ancien fantassin, espère que son prestige de pilote lui permettra de reconquérir la femme qu'il aime. Les deux hommes ont noué une amitié fusionnelle. Jusqu'à ce que Jean apprenne que son coéquipier et lui sont amoureux de la même femme… Leur rivalité va-t-elle détruire le lien irremplaçable qui unit l'équipage ? Avec cette oeuvre, inspirée par sa propre expérience de héros de l'aviation pendant la Grande Guerre, Kessel livre un hymne bouleversant au courage et à la fraternité.
On achève bien les chevaux
Hollywood avant la Seconde Guerre mondiale. Robert Syberten rencontre Gloria Bettie. Comme elle, il est figurant au cinéma. Mais loin d’avoir réalisé leurs rêves, ils n’ont eu qu’un long parcours chaotique semé d’échecs. Désœuvrés et sans argent, ils décident de s’inscrire à un marathon de danse dans l’espoir de décrocher les 1 000 dollars de récompense et de se faire remarquer par un des producteurs formant le public quotidien de ces soirées. Il ne leur reste plus qu’à tournoyer des semaines entières au rythme de l’orchestre. Écrit à la suite de la grande dépression de 1929, « On achève bien les chevaux » est le premier roman noir d’Horace McCoy. Ce texte intemporel, qui n’a rien perdu de sa force évocatrice, est une violente dénonciation du rêve américain. Particulièrement noir et désespéré, il s’attache à explorer l’envers du décor en décrivant la misère de ceux prêts à toutes les humiliations pour pouvoir gagner simplement de quoi survivre. Sidney Pollack en a tiré un très beau film avec notamment Jane Fonda dans le rôle principal. Christophe Dupui