- Home
- >
- Grand format
- >
- L’encyclopédie du cheval et du poney
Agnès Galletier
L’encyclopédie du cheval et du poney
Voici une encyclopédie vivante et complète qui répondra toutes vos questions. Vous allez apprendre à bien vous occuper des chevaux, à les soigner, les câliner, bien les monter et, quand vous saurez tout de leur modes de vie, vous comprendrez que l’amour passe par le respect. Pour approfondir vos recherches, des liens vous permettront de naviguer d’une notion à l’autre.
Vous aimerez aussi
The dead republic
En Anglais – The triumphant conclusion to the trilogy that began with « A Star Called Henry » Roddy Doyle’s irrepressible Irish rebel Henry Smart is back-and he is not mellowing with age. Saved from death in California’s Monument Valley by none other than Henry Fonda, he ends up in Hollywood collaborating with legendary director John Ford on a script based on his life. Returning to Ireland in 1951 to film « The Quiet Man »- which to Henry’s consternation has been completely sentimentalized-he severs his relationship with Ford … His career in film over, Henry settles into a quiet life in a village north of Dublin, where he finds work as a caretaker for a boys’ school and takes up with a woman named Missus O’Kelly, whom he suspects- but is not quite sure-may be his long-lost wife, the legendary Miss O’Shea. After being injured in a political bombing in Dublin in 1974, Henry is profiled in the newspaper and suddenly the secret of his rebel past is out. Henry is a national hero. Or are his troubles just beginning? Raucous, colorful, epic, and full of intrigue and incident, « The Dead Republic » is also a moving love story-the magnificent final act in the life of one of Roddy Doyle’s most unforgettable characters.
De Niro’s Game
Liban, début des années 1980. Campé dans un Beyrouth dévasté par les bombes, De Niro’s Game est une odyssée chaotique, écorchée et haletante, une plongée vertigineuse au cœur de la guerre civile et de ses folies. A Beyrouth-Ouest, Bassani et Georges, deux amis d’enfance, tuent leur ennui et leur mal de vivre à coups de petits boulots minables, de maigres larcins et de soirées trop arrosées. Les jours se suivent et avec eux les alertes, les morts, les immeubles en ruine. Les filles sont inaccessibles, muselées par les traditions et les couvre-feux. Entre deux visites aux copains de lycée engagés dans la milice, les deux jeunes gens s’imaginent coulant des jours meilleurs : Bassam rêve de fuir à l’étranger, et Georges, lui, se sent de plus en plus attiré par les discours belliqueux de la milice chrétienne. Dans un ultime défi, les deux amis décident de détourner la recette de la salle de jeu où Georges travaille. Mais l’argent seul suffira-t-il à les éloigner de la guerre et à sauver leur amitié ? Porté par une écriture sans concessions, le premier – roman de Rawi Hage annonce, au-delà de la puissance du récit, l’avènement d’une nouvelle voix.
Les enfants de l’indicible peur
Ce livre met en lumière un visage inconnu de l’enfant autiste. Si cet enfant n’est jamais entré dans le » monde des gens », c’est qu’il a été frappé d’une indicible peur devant son étrangeté et médusé par sa beauté. Cette révélation rend la figure du petit garçon ou de la petite fille hors du temps et hors d’atteinte tout à coup moins énigmatique. C’est non seulement cette rencontre manquée avec l’Autre que Henri Rey-Flaud nous fait découvrir, mais encore les stratégies savantes mises en oeuvre par l’enfant pour ne pas être submergé par le réel, ni emporté par la dynamique du langage : ainsi Sarah accrochée à son coquillage-fétiche ou Antonio maniant son miroir, lieu de sa disparition et de sa renaissance. Que ces défenses soient insuffisantes à contenir sa peur, c’est ce dont témoigne la façon qu’il a de murer son regard, sa voix et son corps. Une rétention, quelquefois totale, difficile à soutenir pour les parents.
L’Année Terrible
En décembre 1908, Jules Garçon, jeune écrivain originaire de Saint-Pol-sur-Ternoise, dans le Pas-de-Calais, termine, sous le pseudonyme de Georges le Tervanick, la transcription des souvenirs de Dominique Thelliez relatifs à son engagement dans la guerre franco-prussienne de 1870. Car il faut dire que son enfance, comme tant d’autres, a été bercée par les récits de cette guerre et, sans doute, par nombre de couplets revanchards ayant pour thème l’Alsace et la Lorraine. Jules Garçon entend donc témoigner à la fois des souffrances et du désarroi de toute une génération, celle de ses grands-parents, et de la modeste grandeur de deux hommes : Dominique Thelliez, « un vieux, brave troupier », et Léopold Foulon, son propre grand-oncle, « mobile » du Pas-de-Calais. Deux « obscurs », acteurs à peine, niais témoins actifs, attristés souvent, souvent malicieux, discrètement critiques, de cette campagne lamentable où les humbles, servirent de pions dans le jeu de dirigeants politiques et militaires d’une confondante incompétence.

