- Home
- >
- Fantastique
- >
- L’épée de vérité -3- Le sang de la déchirure
Terry Goodkind
L’épée de vérité -3- Le sang de la déchirure
La barrière qui séparait l’Ancien et le Nouveau Monde a été brisée. Des forces anciennes et terrifiantes viennent assiéger les Contrées du Milieu. Par le passé, elles n’ont pu être repoussées qu’en murant l’Ancien Monde à l’aide d’une barrière magique. Mais à présent celle-ci n’est plus. Richard et Kahlan sont les seuls à pouvoir faire face. Mais Kahlan est obligée de se cacher loin de son bien-aimé, traquée par des fanatiques qui ont entrepris d’assassiner tous les possesseurs de magie.
Vous aimerez aussi
La quête de Deltora (Cycle 1 – Vol. 7) – La vallée des Egarés
Dès 9 ans – Désormais, six des sept pierres précieuses brillent dans les médaillons de la Ceinture magique de Deltora. Mais Lief, Barda et Jasmine doivent trouver la dernière, le diamant afin de libérer le royaume de la tyrannie du Seigneur des ténèbres. Une ultime épreuve les attend : les brumes tourbillonnantes de la Vallée des Egarés. S’ils échouent, leur quête aura été vaine ! Si près du but… Pourtant un seul faux pas et les trois compagnons resteront à jamais prisonniers !
L’Eve future
L’Ève Future (1886) est au roman ce que les « Poésies » de Mallarmé sont à la poésie : le chef-d’oeuvre de l’époque symboliste, l’anti-Zola, l’anti-Goncourt.
Villiers est le plus grand conteur fantastique français. La donnée est fantastique, ou de science-fiction, puisqu’il s’agit de créer une femme artificielle, qui évite les inconvénients des femmes réelles. Ce livre traite de l’amour impossible, pour une femme qui n’existe pas. C’est aussi un roman de la révolte, qui se termine sur le frisson du créateur de l’automate. Edison, face au silence glacé, à « l’inconcevable mystère » des cieux ; un roman proche du mythe de Faust autant que de Jules Verne, par l’anticipation scientifique ; un ouvrage philosophique parce qu’il médite sur l’être et le paraître. Le style est brillant, somptueux, insolite et ironique, comme Mallarmé l’a relevé : il mène « l’ironie jusqu’à une page cime, où l’esprit chancelle. »
Le langage des pierres
Au XVe siècle, dans un pays qui ressemble aux Iles Britanniques, Will, un jeune garçon de treize ans, est arraché à ses parents adoptifs par le mage Gwydion. Ce dernier, persuadé que l'adolescent est la réincarnation d'Arthur et qu'il a le pouvoir d'épargner au pays le bain de sang qui approche, veut en faire son apprenti. Il va l'initier au langage des pierres, aux pratiques magiques, aux jeux d'adresse, à ceux de la diplomatie, et lui inculquer les rudiments de la sagesse. Car le Royaume vit une époque troublée : les pierres magiques, autrefois symbole de paix et de protection contre les invasion, ont perdu leur pouvoir. Et un sorcier, tenaillé par la soif du mal, a parié sur le chaos et la guerre afin d'assurer sa prise de pouvoir sur le monde. Gwydion et Will parviendront-ils à sauver le Royaume du désastre annoncé ?
Pèlerins des ténèbres
Frère Guillaume a commis un lourd péché d’orgueil : il a cru qu’il serait plus fort que les autres, que lui réussirait à mener à bien ce pèlerinage à Saint-Gaudémon qui a pourtant déjà coûté tant de vies. Erreur. Les pièges de l’Enfer se sont abattus sur la troupe et lui seul a réussi à survivre. Pour son malheur. Mis au secret dans sa propre abbaye, il implore la mort, convaincu d’être à son tour possédé du démon. Mais au fait, que se passe-t-il vraiment dans ces montagnes maléfiques ? Ce n’est tout de même pas Marion, la jeune tailleuse de pierres, qui va le découvrir… Si ? // Incroyable Brussolo. On l’attend dans le roman noir et il surgit avec « Pèlerins des ténèbres » dans les maléfices du Moyen Âge. On tremble beaucoup avec la jeune Marion des Pierres dans ce récit mené comme d’habitude de main de maître. –Bruno Ménard